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Si la chute du mur de Berlin, en novembre 1989, suivie quelques mois plus tard par la réunification de l’Allemagne a été accueillie avec joie en Europe et notamment en France, il fut un temps, pas si lointain, où la partition de l’Allemagne était regardée plutôt favorablement par beaucoup. En témoigne cette phrase, ironique mais profondément ressentie, prononcée en 1967 par l’écrivain François Mauriac dont les analyses publiées dans Le Figaro puis dans L’Express étaient très remarquées et commentées.
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En effet, cette partition de l’Allemagne amenuisait, voire anéantissait, la crainte de voir ce puissant voisin, à qui deux guerres mondiales nous avaient opposé, occuper en Europe une position hégémonique, donc potentiellement dangereuse pour la France.