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Dans un entretien publié dans Télérama, le plus controversé des acteurs français revient sur le rôle que lui a confié Abel Ferrara librement inspiré de l’affaire du Sofitel. Il indique avoir accepté le rôle sulfureux de DSK pour se plonger dans "la tragédie d'un homme au faîte de la puissance et piégé par ses pulsions (…), trop sûr de lui".
"J’étais quand même un peu dégouté" confie-t-il ajoutant "ce n’est pas mon rôle non plus de jouer les redresseurs de tort".
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Point intéressant, pour ce rôle dans Welcome To New York il explique ne pas avoir revu les images de l’affaire et ne s’être concentré que sur "le descriptif qu'a fait le FBI des événements".
Celui qui considère que la "faute morale" évoquée sur le plateau de Claire Chazal ainsi que la récente version d’Anne Sinclair sur France 2 semblent "truqués jusqu’à l’obscène" voulait également montrer "le drame d'être traqué puis inculpé. Qui qu'on soit".
L’acteur est également revenu sur les polémiques qui l’entourent. L’exil fiscal, l’alcool ou encore son soutien à Vladimir Poutine. "Je ne tourne plus volontiers en France, où il y a bien trop de charges à payer" indique-t-il confirmant son goût très prononcé de l’argent. Concernant son nouvel ami, chef du Kremlin, Depardieu s’essaye également à l’analyse politique : "Pour moi ne sont vraiment dictateurs que ceux qui affament leur population, donc Poutine n'est pas un dictateur". La sortie de Welcome To New York est prévue pour le 17 mai prochain.