Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Moutarde, huile de tournesol, farine… Pour les Français, l’année 2022 était placée sous le signe des pénuries. Dans certains rayons des supermarchés, les étagères étaient particulièrement vides, laissant un souvenir amer aux consommateurs.
En effet, avant cette époque-là, les ruptures de stock et les pénuries se faisaient relativement rares dans les grandes surfaces, en particulier concernant des produits fortement plébiscités comme la moutarde et l’huile.
Dans les magasins, c’est un tout autre spectre qui plane au-dessus des clients , celui de l’inflation. Parallèlement aux ruptures de stock, ce phénomène s’est étendu sur la quasi-totalité des biens de consommation ainsi que sur les services, au grand dam du portefeuille des Français.
Rupture de stock : un phénomène encore présent dans les supermarchés
Si ce phénomène ne semble pas se ternir en 2023, les ruptures de stock paraissent s’être atténuées. Pourtant, celles-ci sont encore bien présentes dans les supermarchés. En avril 2023, "le taux de rupture au Total PGC-FLS atteint 5,2% et augmente de +0,3 point par rapport à la même période l'année passée. Ces ruptures en linéaire représentent sur une année pleine un manque à gagner brut de 5,1 milliards d'euros en hypermarchés et supermarchés", précise Elodie Thévenet, consultante OSA Nielsen IQ à nos confrères de LSA.
Découvrez dans notre diaporama le classement des 5 rayons les plus touchés par les ruptures de stock en avril 2023 par rapport à la même période en 2022, selon une étude Nielsen IQ pour LSA réalisée entre le 27 mars et le 23 avril.