![Tubiana, Trump, Jagger & Richards… Quoi de neuf ce mardi 16 juillet 2024 ?](/files/styles/pano_m/public/images/diaporama/6/1/1/2967116/vignette-focus.jpg?itok=ZQVi24QG)
Laurence Tubiana, proposée comme Première ministre, ne fait pas l’unanimité au sein du NFP; Donald Trump plus combatif que jamais après la tentative d’assassinat; une saison des feux de forêts qui démarre...
"Comme c'est un conseil paritaire, le fait qu'il y ait un président homme et une vice-présidente femme est une bonne chose et puis c'est un tandem entre un haut fonctionnaire et une grande responsable politique", a-t-il tenu à expliquer. La présidente de Poitou-Charentes a, quant à elle, assuré qu’elle ne sera pas rémunérée pour cette activité.
Un poste de consolation ?
Cette nomination intervient alors que Ségolène Royal s’est vue déboutée de nombreuses fonctions auxquelles elle tenait en 2012. En effet, le fiasco de l’élection législative et le tweet assassin de Valérie Trierweiler sont encore présents dans les mémoires. Ségolène Royal avait perdu la circonscription des-Deux-Sèvres, qu’elle pensait acquise, face au socialiste Olivier Falorni. Ce dernier s’était présenté sans le soutien du Parti socialiste et dénonçait "un parachutage de la honte". Valérie Trierweiler lui avait alors témoigné son soutien sur Tweeter, avant de s’en excuser quelques jours plus tard.
La présidente de Poitou-Charentes avait aussi fait part de son intention de présider l’Assemblée Nationale en cas de victoire. Un souhait qui n’a pas été exaucé. En juillet 2012, Ségolène Royal a toutefois été désignée secrétaire nationale en charge des "mobilisations citoyennes" du Parti socialiste.
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