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"Ce ne sont pas les banques qui pourraient décider de taxer plus fortement l’épargne. Cependant, si cette décision devait être prise, elle n’interviendrait pas pour sauver les banques : elle viendrait aider à la finance des dépenses publiques. Le gouvernement s’est d’ores et déjà prononcé en la matière, il n’entend pas augmenter les impôts. En revanche, ce qui pourrait menacer l’épargne, c’est un soudain choc obligataire. Mais ce risque est faible, parce que extrêmement contrôlé par la BCE", note encore Philippe Crevel.