Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Vous en avez assez de travailler de chez vous et aimeriez – enfin ! – retrouver le chemin du bureau ? Vous n’êtes visiblement pas seul(e) ! Au contraire, même. A en croire Le Parisien, qui s’attardait récemment sur la question des bouchons en zone francilienne, l’idée a effleuré plus d’un travailleur ou d’une travailleuse. En effet, certains jours, les kilomètres d’embouteillages s’enchaînent littéralement par centaines. Rien de bien étonnant en soi, pour quiconque sait que ce genre de situation pouvait s’avérer extrêmement commune avant le premier confinement et les débuts de la crise sanitaire.
Pour autant, ainsi que les données du site Sytadin permettent de l’identifier, chaque jour ne se vaut pas en la matière. Il y en a même qu’il faut activement éviter, si vous souhaitez passer le moins de temps possible dans l’habitacle de votre véhicule !
Embouteillages à Paris et en zone francilienne : les jours à éviter
Le choix le plus judicieux, par exemple, serait d’éviter le mardi, indique le site spécialisé dans la circulation parisienne et d’Île-de-France. Il s’agit du jour le plus compliqué de la semaine… Et de loin ! En effet, les Françaises et les Français qui prennent la route le mardi risquent de faire face régulièrement à plus de 319 kilomètres de bouchon en heure de pointe le matin ; et pas moins de 253 kilomètres en heure de pointe le soir. C’est pire que tous les autres jours de la semaine.
Les autres jours à éviter sont les suivants :
- le jeudi, durant lequel on constate en moyenne 264 kilomètres de bouchons le matin et 242 en soirées
- le vendredi qui, s’il reste praticable le matin, ne l’est absolument pas le soir. Comptez sur 329 kilomètres de bouchons potentiels
Si vous souhaitez éviter les bouchons, vous pouvez aussi passer en télétravail complet dans une résidence secondaire dans une autre région.