De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Par téléphone, par mail, dans la boîte aux lettres... Les escrocs ne manquent pas d'imagination pour vous soutirer de l'argent ou des biens de valeur. Mais il arrive encore que des personnes malintentionnées vous accostent en pleine rue pour vous tromper. Au distributeur de billets, à la terrasse d'un café ou encore sur un parking... Dans notre diaporama ci-dessous, découvrez les sept procédés les plus fréquents dans les lieux publics.
Si vous avez déjà été victime d'une personne malveillante, et que l'on vous a pris de l'argent ou un bien personnel, il existe des recours. Selon le site officiel du service public, l'escroquerie est un délit qui consiste pour le criminel à "tromper une personne (physique ou morale) pour la pousser à lui remettre un bien, de l'argent ou à fournir un service". Pour que cela soit caractérisé d'escroquerie, la victime doit avoir agi de sa propre volonté après que l'auteur lui ai menti sur ses intentions.
Quels sont les moyens utilisés par les escrocs ?
Pour arriver à leurs fins, les malandrins peuvent tromper leur victime de différentes manières, que voici :
- L'utilisation d'un faux nom, comme celui d'un de vos proches par exemple ;
- L'utilisation d'un faux document comme une facture, une amende ou un diplôme ;
- L'utilisation de la confiance attachée à certaines professions, comme les forces de l'ordre, les présidents d'association ou encore les élus ;
- L'utilisation d'une fausse qualité : se faire passer pour veuf, se faire passer pour un avocat, se faire passer pour un orphelin...
Si vous avez été victime d'une arnaque, portez plainte sans attendre au commissariat de police. Notez que les services de police et de gendarmerie sont dans l'obligation de prendre votre plainte. Si l'arnaque implique l'utilisation ou le vol de votre carte bancaire, contactez immédiatement votre banque pour faire opposition et trouver une solution.