A l’approche du réveillon de la Saint-Sylvestre, le beau temps sera-t-il au rendez-vous ? Soleil, pluie, neige… Découvrez les dernières prévisions pour les fêtes.
Aprés Alain Juppé, François Fillon mais aussi Bruno Le Maire, Hervé Mariton et Jean Frédéric Poisson ont annoncé la sortie d'un livre pour les mois à venir, celui de Nadine Morano est un nouvel ouvrage qui vient s'ajouter à la longue liste des publications de livres politiques.
L'exercice du livre : "un passage obligé"
"Je suis en train d'en rédiger un oui. Je pense que c'est un exercice obligé. C'est un dialogue avec les Français pour leur dire notre pensée profonde, nos éléments de programme", a expliqué Nadine Morano sur France 3. "Ce ne sera pas qu'un livre programme. Je crois que les Français ont besoin de savoir qui nous sommes, ce que nous pensons et quelle est notre expérience. C'est un exercice difficile d'ailleurs, Nicolas Sarkozy le dit, mais je le crois nécessaire" a ajouté Nadine Morano. Elle a par ailleurs confirmé être candidate à la primaire des Républicains en novembre 2016.
A lire aussi : Nadine Morano est-elle en train de "se tuer politiquement"?
Un rapprochement avec le CNIP
L'ancienne député de Meurthe-et-Moselle a également annoncé qu'elle pourrait se rapprocher du Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP) pour la primaire de la droite. Nadine Morano est consciente qu'elle aura des difficultés à obtenir les parrainages requis. En effet, pour participer à la primaire des Républicains, les candidats devront avoir reccueilli les parrainages d'au moins 20 parlemantaires, 2 500 adhérents et de 250 élus répartis sur 30 départements minimum.
Ce qui est sûr, c'est que dans son prochain livre, Nadine Morano ne se livrera pas à une autocrtique comme Nicolas Sarkozy dont elle discrédite le retour. "C'est bien de reconnaître ses erreurs. Mais est-ce que ça ne le disqualifie pas de facto ? À partir du moment où vous reconnaissez toutes ces erreurs, comment est-ce que demain on est sûr qu'il n'en fera pas d'autres?" a-t-elle déclaré à propos des confessions que fait l'ancien président dans son livre. Et d'ajouter tout de même que "Nicolas Sarkozy a été un grand président, j'ai de l'affection pour lui. Je lui reproche son comportement, pas sa politique".