A l’approche des épreuves et de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques 2024, une vague épidémique est-elle à craindre ? Emmanuel Piednoir, infectiologue, répond à nos questions.
C'est le "pape d'intérim", Tarcisio Bertone, actuel Camerlingue de l'Eglise romaine, qui a eu l'idée de ces confrontations, qu'on imagine viriles mais correctes. Une compétition où chacun n'hésite pas à mettre la main à la pâte, ou le pied sur le ballon. Ainsi le Portugais José Saraiva Martins, ou encore l'archevêque de Durban, le Sud-Africain Wilfrid Fox Napier, ne devraient pas hésiter à chausser les crampons pour aider leurs sélections respectives. L'Australien George Pell lui, était cette fois-ci sur le banc de touche des North American Martyrs, derniers vainqueurs en date.
A tout seigneur, tout honneur, c'est l'équipe hôte de la compétition, les Romains de Redemptoris Mater, qui détiennent le record de victoires dans la compétition. Les Italiens ont été sacrés en 2007, 2008 et 2010, mais auront fort à faire avec les Bleus du Séminaire Gallico, emmenés par leur puissant attaquant, Sadio. Par ailleurs, il faudra aussi compter avec la Gregoriana, l'équipe de l'Université jésuite, et les Aztèques du Col Mex, qui peuvent créer la surprise. Et cette fois-ci, pas de doutes, ils n'auront aucun mal à sortir du bus.