La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
L’Exposition universelle a ouvert ses portes le 1 mai dernier à Milan, dans le nord de l’Italie. La France souhaite montrer tout l'étendue de la richesse de ses terroirs alors que le thème de l’exposition est cette année : "Nourrir la planète, énergie pour la vie".
Le pavillon a été réalisé avec plus de 2 600 pièces d’épicéas et de mélèze de Franche-Comté. Entièrement démontable, la construction française intègre également un jardin de 1 200 mètres carrés : "Nous avons le double des plantes exposées dans des serres pour pouvoir les remplacer au pied levé", explique l'un des jardiniers. Toutes les régions de France sont représentées à travers une soixantaine d'espèces et bien plus de variétés comme l'artichaut breton et la gariguette.
"Un paysage collinaire et varié typique de la France, mais renversé. Un espace d’accueil qui s’inspire des halles de Baltard, lieu d’échange par excellence et point de rencontre entre tous les maillons de la chaîne alimentaire", décrit Anouk Legendre, l’un des deux architectes du pavillon français.
Un pavillon très convoité
Le pavillon français a coûté au moins 23 millions d’euros et sera mis en vente à la fin de l’Exposition. Selon les informations de Paris Match, le Qatar aurait proposé d’acheter le bâtiment français.
Mais Stéphane Le Foll, le porte-parole du gouvernement a déjà prévenu que le pavillon français "restera en France" et pourrait même devenir un palais de la gastronomie au cœur du marché de Rungis.