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État et prix du marché, vendeurs trop gourmands… Lors d’une transaction immobilière, la marge de négociation fluctue selon divers éléments. Pour conclure, vendeur et acquéreur doivent en effet s’entendre sur un prix de vente qui s’adapte à la fois aux besoins de l’un et au pouvoir d’achat immobilier de l’autre. Si, selon le Baromètre LPI-SeLoger datant de décembre 2021, les marges de négociation ont diminué au cours de l’année 2021, en raison d’un marché immobilier qui s’est tendu (demande forte, mais biens à vendre plus rares), il demeure cependant possible de négocier. Du fait de ce déséquilibre entre l’offre et la demande, les négociations sont toutefois moins fréquentes qu’avant, pointe le groupe.
"Ce sont les vendeurs qui ont la main", observe SeLoger. Ainsi, "sur un marché où l'on peut dénombrer jusqu’à dix (et parfois davantage !) acheteurs en attente pour un même bien, il n’y a rien d’étonnant à ce que les acquéreurs ne négocient plus, de peur de voir le logement qu’ils souhaitent acquérir, leur passer sous le nez", détaille les auteurs de l’étude.
Quels sont les biens qui peuvent alors être négociés et à combien se monte la marge ?
Achat immobilier : 4,7% de négociation moyenne en 2021
Désormais, "seuls les logements surestimés et dont le prix de vente affiché apparaît comme étant totalement déconnecté de la réalité du marché immobilier local ou encore qui présentent des défauts, font l’objet de négociations", précise l’étude.
En 2021, en France, la marge de négociation moyenne (maisons et appartements confondus) s’élevait à 4,7%, révèle SeLoger. Qu’en est-il selon les territoires ?
Région par région (avant réforme territoriale et hormis la Corse), découvrez dans notre diaporama ci-dessous les marges de négociation tous biens confondus en France, selon le baromètre LPI-SeLoger (décembre 2021).