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- 1 - Laurent, éleveur de plusieurs centaines de vaches
- 2 - Mathieu, l’agriculteur aux multiples compétences
- 3 - Philippe, agriculteur de père en fils
- 4 - Cathy, une affaire de famille
- 5 - Eric, éleveur malgré lui
- 6 - Florian, un agriculteur inventif
- 7 - David, l’éleveur aux 50 000 escargots
- 8 - Eric le chevrier, un agriculteur amoureux de son troupeau
- 9 - Paul-Henry, l’éleveur tombeur
- 10 - Laura, l’agriculteur sur-diplômée
- 11 - Jean-Claude, l’éleveur à 100 à l’heure
- 12 - Jérôme, un agriculteur reconverti
- 13 - Lionel, un éleveur fondateur
Pour cette édition 2020 de L'amour est dans le pré, 11 hommes et deux femmes constitueront les agriculteurs venus chercher l’amour dans l’émission. Ils sont âgés de 37 ans à 63 ans et seront accompagnés, comme à l’accoutumée, de Karine Le Marchand qui présente le programme depuis l'été 2010. Les profils restent globalement similaires aux années précédentes. Passionnés par leur métier, mais souvent trop isolés, ces 13 nouveaux candidats participent à l’émission avec un seul objectif en tête : trouver leur âme sœur et partager leur passion ensemble. En attendant le début de la 15e saison le 9 mars sur M6, découvrez les portraits des agriculteurs célibataires.
Laurent, éleveur de plusieurs centaines de vaches
Grand gaillard d’1m93 pour 120 kg, Laurent, 45 ans, originaire de Normandie, est un passionné de rugby. Devenu champion de France universitaire en 2000, il a longtemps hésité à se lancer dans une carrière de sportif. Finalement, en 2001, il se lance dans l’agriculture bio. Il est aujourd’hui à la tête d’un troupeau de 350 vaches, mais possède aussi une grande variété d’animaux allant des chèvres aux juments. Célibataire depuis 1 an, il a eu trois relations marquantes dans sa vie, ayant toutes duré autour de 7 ans. Laurent a été marié une fois, mais n’a jamais eu d’enfants. Pour lui, l’émission L’amour est dans le pré est une aubaine. Il espère trouver une femme avec laquelle il pourra vivre une relation passionnelle, et surtout, fonder une famille.
Mathieu, l’agriculteur aux multiples compétences
C’est la deuxième fois que L’amour est dans le pré accueille un candidat gay. Mathieu, 44 ans, originaire d’Occitanie, a fait énormément de métiers différents avant d’arriver dans l’agriculture. Il a été étudiant en finances, employé d’un grand groupe de vente de produits pétroliers pendant 6 ans, puis à la tête de trois restaurants et deux salons de coiffure pendant 13 ans. Ce n’est que depuis 2016, que Mathieu décide de rejoindre le monde agricole, une décision qu’il considère comme la meilleure de toute sa vie. Pour lui, c’est l’histoire de Thomas qui lui a donné envie de se lancer dans l’aventure (ancien candidat de la saison 13, premier gay de l’histoire de l’émission). Porteur du gène de la maladie de Cadasil, sans en être affecté, Mathieu rêve, plus que tout, de fonder une famille.
Philippe, agriculteur de père en fils
Voilà six générations que sa famille est dans le métier. Philippe, 54 ans, originaire d’Auvergne-Rhône-Alpes, est passionné d’agriculture depuis tout petit. Il a connu deux grandes histoires d’amour dans sa vie : la première n’a duré que quelques mois, mais l’a profondément marquée, la deuxième, son ex-femme avec laquelle il est resté 11 ans. Depuis, il n’a plus trouvé l’amour et se sent seul. Il se considère également comme un grand maladroit. En effet, il a fait un petit séjour au service des grands brûlés pour une histoire de friteuse qui a mal tourné. A travers L’amour est dans le pré, il aspire à trouver une femme qui comprenne et accepte sa profession. N’ayant jamais eu d’enfant, il espère aussi pouvoir y remédier avec, peut-être, sa future femme.
Cathy, une affaire de famille
Cathy, 41 ans, originaire de Nouvelle-Aquitaine, a grandi dans un environnement agricole. Depuis qu’elle a 7 ans, elle préfère conduire un tracteur qu’aller à l’école. C’est donc tout naturellement qu’en 2020, sa sœur et elle dirigent l’exploitation familiale. Cathy est bien consciente d’avoir un caractère bien trempé qui peut parfois nuire à ses relations, néanmoins, elle se considère comme étant très généreuse en amour. Cette dernière se sent aussi fière de faire partie d’une profession majoritairement composée d’hommes. Mère d’une grande fille de 18 ans qu’elle a eu avec son ex-mari parti il y a quatre ans, Cathy cherche un homme qui pourra l’épauler et la soutenir dans son métier.
Eric, éleveur malgré lui
Il est considéré comme le gentil de l'émission. Eric, 57 ans, originaire, d’Auvergne-Rhône-Alpes, décide de mettre de côté ses ambitions de jeunesse pour aider sa mère à la ferme, après la mort soudaine de son père. Elle finit aussi par disparaître, il y a 20 ans, laissant Éric seul pour gérer l’affaire familiale. Il n’a pas eu de relation "depuis une trentaine d’années", selon ses mots, mais a tout de même connu deux histoires de quelques mois durant sa jeunesse. Il apprécie grandement la compagnie de ses vaches, mais aimerait mettre fin à cette longue période de célibat en rencontrant une femme avec laquelle il pourrait partager sa vie. Bien conscient que ses chances de devenir père sont minces, il accueillerait en revanche avec plaisir ceux de sa future femme.
Florian, un agriculteur inventif
Lui aussi baigne dans l’agriculture depuis tout petit. Florian, 37 ans, originaire de Nouvelle-Aquitaine est fils d’éleveur. Il accompagne son père à la ferme dès le plus jeune âge, et tient désormais sa propre exploitation depuis 2004. Malheureusement, sa vie bascule en 2010 lorsque l’arbre qu’il était en train de couper, s’effondre sur lui, le laissant paraplégique. Malgré cet accident, Florian ne se laisse pas abattre et reprend son activité presque normalement. Il a adapté son tracteur et son quad pour pouvoir travailler au quotidien et se fait maintenant aider par un salarié pour certaines tâches inaccessibles. Célibataire depuis 2011, il a eu deux relations sérieuses dans toute sa vie, et cherche une femme avec laquelle il pourra bâtir une famille.
David, l’éleveur aux 50 000 escargots
Comme beaucoup, il a repris l’exploitation familiale. David, 49 ans, originaire d’Occitanie, est agriculteur depuis 1991. Il possède un élevage de 50 000 escargots et quatre hectares truffiers. Il se considère comme un épicurien qui aime sortir et profiter de la vie avec ses amis. Bien entouré, David manque cependant d’une femme avec laquelle il pourrait partager sa vie et ses passions. Le cultivateur a eu deux grandes relations au cours de sa vie qui lui ont offert trois enfants. Il souhaiterait sortir d’une solitude affective qui dure depuis 7 ans en trouvant une femme pétillante et sociable qui aime le sport comme lui.
Eric le chevrier, un agriculteur amoureux de son troupeau
Il s’est spécialisé dans l’élevage de chèvres il y a 10 ans. Eric le chevrier, 54 ans, originaire de Nouvelle-Aquitaine est aujourd’hui à la tête d’un cheptel de 200 laitières. Céréalier et ramoneur l’hiver, il a vécu 25 ans avec son ex-femme qu’il considère comme l’unique amour de sa vie. Elle lui a d’ailleurs donné un fils, qu’il considère comme ce qu’il y a de plus cher. Divorcé depuis 2013, Eric le chevrier n’a plus connu l’amour par la suite, un manque de tendresse qu’il regrette aujourd’hui. Désireux de laisser sa solitude derrière lui, et terrifié à l’idée de vieillir seul, il s’est inscrit à l’émission pour trouver une femme qui pourra lui donner toute l’affection qui lui manque.
Paul-Henry, l’éleveur tombeur
Heureux de la liberté que lui offre son métier, Paul-Henry, 38 ans, originaire d’Occitanie, a repris la ferme familiale il y a six ans. Initialement éleveur de vaches allaitantes, il s’est diversifié et possède aussi des chapons vendus localement et des chevaux. Avec son physique de rugbyman, il dit ne pas avoir de mal à rencontrer des femmes, mais peine à trouver celle qui lui correspond. L’agriculteur aime faire la fête et beaucoup plaisanter, mais cache une sensibilité qu’il a du mal à dévoiler. Ses collègues disent de lui qu’il est extrêmement gentil et altruiste. Il souhaiterait beaucoup rencontrer quelqu’un qui comprenne son train de vie et son métier.
Laura, l’agriculteur sur-diplômée
Laura, 37 ans, originaire du Pays de la Loire, possède une licence en LEA (Langues Étrangères Appliquées). Elle a aussi obtenu un master en commerce international, mais a tout de même préféré revenir à ce qu’elle aimait vraiment : la ferme. Avec l’aide de quatre collègues agriculteurs, Laura s’occupe du soin des vaches laitières et de leurs veaux dans une exploitation où sont élevées également des charolaises et cultivées des céréales. Célibataire depuis 2016, elle a eu plusieurs relations de deux à trois ans qui n’ont pas abouti à grand chose. En plein développement professionnel, l’éleveuse n’a jamais pris le temps de construire une vie de famille. Avec l’émission, elle aimerait construire ce cocon familial qui lui manque tant.
Jean-Claude, l’éleveur à 100 à l’heure
Il est commercial en agro-alimentaire depuis près de 40 ans en plus d’une activité de céréalier en agriculture. Jean-Claude, 63 ans, originaire du Centre-Val de Loire, mène ses deux métiers de front. Il est aussi passionné de sport et pratique la course à pied, le VTT en montagne, les randonnées en buggy, le canyoning, le tennis, le football et a même décidé de faire du saut en parachute cette année. Son entourage le considère comme le clown hyperactif, mais lui se sent plus timide que ce que les gens pensent. Il est célibataire depuis deux ans et a eu deux relations amoureuses importantes dans sa vie. Il recherche donc une femme qui sera capable de le suivre dans ses aventures quotidiennes et prête à partager toutes ses passions.
Jérôme, un agriculteur reconverti
Il a été footballeur à un bon niveau, éducateur sportif, saisonnier à la montagne et même gérant d’un restaurant. Jérôme, 37 ans, originaire du Grand-Est, reprend la main de l’exploitation agricole familiale en 2010 après s’être essayé à de nombreux autres métiers. L’éleveur dit avoir toujours eu des difficultés en amour. Sa première copine remonte à l’adolescence et ne lui a pas laissé de bons souvenirs en le trompant. Dès lors, il a eu des relations difficiles ne sachant jamais trop où il allait. Ses proches ne comprennent pas bien pourquoi il est encore célibataire tant ils le trouvent charmant. Ce sont d’ailleurs eux qui l’ont inscrit dans l’émission. Jérôme espère donc trouver la femme de sa vie avec laquelle il pourra fonder une famille.
Lionel, un éleveur fondateur
Il a monté son exploitation de 260 hectares avec son père. Lionel, 62 ans, originaire du Grand-Est, est passionné par l’agriculture depuis son plus jeune âge. Il est éleveur depuis 1984 et a vu la profession évoluer au fil des années sans que cela n’atteigne son engouement. Il est père de trois filles issues du même mariage qui a duré 32 ans. Par la suite, l’agriculteur vit une histoire d’amour qui dure sept ans, mais qui, selon ses mots, a été plus complexe. Célibataire depuis 18 mois, Lionel rêve de rencontrer une femme avec laquelle il pourra former de nouveau une famille, mais aussi, qui l’accompagnera réaliser son rêve : partir en Pologne, la terre de ses ancêtres.