Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Premier coup de gueule pour la nouvelle chroniqueuse d'"On n'est pas couché" Christine Angot. La romancière s'en est pris au député de Seine-Saint-Denis de la France insoumise (FI), Alexis Corbière, sur le plateau de l'émission samedi 16 septembre.
Elle reproche à Farida Amrani, candidate FI aux élections législatives de juin 2017 dans la première circonscription de l'Essonne, d'avoir accepté les voix de l'humoriste controversé Dieudonné, également candidat, au second tour sans rien dire. Ce dernier "s'est désisté pour elle. (...) C'est une présence qui vient se désister et renforcer les voix de La France insoumise", accuse la chroniqueuse.
"Je n'ai rien à voir avec ce salopard antisémite"
Un reproche qu'Alexis Corbière n'accepte pas. "J'ai été le premier à demander l'interdiction des spectacles de Dieudonné. Je n'ai rien à voir avec ce salopard antisémite ni mes amis", rétorque-t-il violemment.
Le député FI de Seine-Saint-Denis en a profité pour rappeler l'importance de cette circonscription de l'Essonne lors de la campagne des législatives. "Attendez, il a fait combien Dieudonné ? Il a à fait zéro et quelques. Elle [Farida Amrani] était dans une bataille contre Valls, elle n’a rien fait avec lui[Dieudonné], (...) elle ne s'est jamais affichée avec lui", s'explique Alexis Corbière.
À lire aussi : Dieudonné : l’humoriste jugé pour des propos antisémites
Une explication que Christine Angot n'accepte pas. "Elle a accueilli ses voix. Elle n'a rien dit. Elle n'a pas dit : 'Ah merci beaucoup'. Elle n'a pas dit non plus : 'Je ne veux pas de ses voix'. (...) Ce n'est pas un problème d'accepter les voix de Dieudonné ?! (...) Il y a beaucoup trop de mauvaise foi", s'insurge la chroniqueuse.
Au premier tour des législatives l'humoriste Dieudonné avait recueilli 3,8% des suffrages de la première circonscription de l'Essonne. Farida Amrani avait elle séduit 17,6% des électeurs et avait ainsi accédé au second tour des élections. Élections qu'elle a perdues au soir du second tour contre Manuel Valls, candidat divers gauche et ancien Premier ministre.