De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Ce n’est pas nouveau, l’écologie est au coeur des débats depuis maintenant de nombreuses années. Des entreprises de tous secteurs innovent pour proposer des produits toujours plus écoresponsables. Les campagnes marketing à la télé ne dérogent pas à la règle. C’est pourquoi des mesures vont être prises contre la présence des SUV dans les publicités, pour que l’écologie ne soit plus un simple coup de communication. Fini le "greenwashing", en plus du malus écologique mis en place par le gouvernement, pour décourager les clients à acheter certains véhicules. Plusieurs députés ont soumis des idées novatrices pour aller plus loin dans la démarche.
Cinq points primordiaux
Anthony Cellier, député LREM (La République en Marche) de la 3e circonscription du Gard, est l’un des principaux acteurs de ce projet. Accompagné de 18 de ses collègues, il entend bien mettre en place ses idées. Il reproche aux marques de vanter les supposés mérites écologiques de leurs produits à travers le petit écran, alors que certains de ces véhicules sont malussés, selon les informations rapportées par Capital. Le premier amendement consiste à abolir la publicité des véhicules qui subissent un malus, tels que les SUV. Dans son texte, il dénonce : "récemment, on constate une recrudescence des publicités concernant des véhicules très polluants, qui non seulement n’informent pas le consommateur sur la nocivité de ce type de véhicules sur l’environnement, mais proposent de rembourser le malus écologique pour l’achat dudit véhicule, ce qui relève d’une véritable aberration écologique".
Le second amendement vise à informer le public de l'impact négatif de ces véhicules polluants sur l'environnement. Le troisième prévoit la création d'un pictogramme qui serait apposé sur les publicités ayant un impact négatif pour la planète. Le quatrième identifiera le "greenwashing" comme étant de la publicité mensongère. Pour finir, le cinquième amendement mettra en place un code de bonne conduite pour combattre les publicités considérées comme néfastes pour le climat.
Afin d'identifier ces publicités qui ont une influence négative sur l’écologie, plusieurs critères entreront en compte : les émissions de gaz à effet de serre du produit, son empreinte carbone, ou encore son implication dans la déforestation.