De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
François-Xavier Renou : il a participé à Koh-Lanta en 2002
Il est le nouveau visage de l’émission Affaire conclue. Depuis septembre 2020, François-Xavier Renou s’est fait une place de choix dans le programme préféré des brocanteurs sur France 2. Pourtant, ce n’est pas la première expérience télévisuelle pour le marchand d’art et acolyte de Sophie Davant.
Si son nom ne vous dit rien, son visage pourrait rappeler des souvenirs aux fans de Koh-Lanta. En 2002, François-Xavier Renou a participé à la deuxième saison du jeu d’aventure, animé pour la première fois par Denis Brogniart, sous le soleil du Costa Rica. Un véritable signe du destin pour cet homme de 25 ans (à l’époque) en quête d’évasion et de sensations fortes.
"J’étais dans une période de ma vie où je ressentais le besoin de tenter quelque chose qui me dépassait", a-t-il expliqué auprès de TV Mag. "Je me souviens être tombé sur la bande-annonce de l’émission et avoir eu un déclic. J’ai rêvé que j’y participais et je suis très sensible aux rêves que je fais donc j’étais décidé. Le jour où j’ai envoyé mon dossier de candidature, j’avais la conviction que je serai retenu".
Membre de la tribu jaune (Vantanas), l’ex-aventurier originaire des Yvelines a fait un incroyable parcours jusqu’à la réunification, avant d’être éliminé après 31 jours d’aventure. "J’ai réalisé des choses que je n’avais jamais faites jusqu’alors, c’était un véritable dépassement de soi. Je n’avais jamais fait de camping de ma vie donc même dormir par terre était une première", confie-t-il à notre confrère. Peut-on espérer un jour le revoir dans l’édition "all stars" du jeu ? Sa réponse est catégorique. "Jamais, plutôt mourir !", rigole-t-il avant d’ajouter. "C’était vraiment horrible, je ne le referai jamais. Jamais. Une fois, ça m’a suffi".
François-Xavier Renou : un marchand d’art célèbre en Indonésie
Avant d’être sous le feu des projecteurs, François-Xavier Renou exerce la profession de joailler. Un domaine créatif dans lequel il excelle brillamment. "J'ai fait une école de joaillerie. J'ai déjà déposé huit brevets d'invention et je vais bientôt déposer le neuvième. J'ai arrêté la joaillerie pour ensuite me consacrer aux bijoux fantaisie haut de gamme", explique le créateur à Télé Star.
L’occasion de mettre en avant son expertise et ses créations auprès de sa clientèle en France, mais également en Indonésie. C’est par amour pour sa femme, rencontrée avant sa participation à Koh-Lanta, qu’il mène aujourd’hui sa vie entre Paris et Bali. "Elle voyageait souvent à Bali, je l’ai suivie et nous nous sommes implantés là-bas au fil des années", déclare-t-il à TV Mag. "Nous avons créé une marque de bijoux fantaisies haut de gamme qui s’appelle KMO Paris".
En parallèle de ses activités d’artisan joailler, François-Xavier Renou est aussi une star de la chanson, plus connu sous le nom de Fransoa Superstar sur l’île indonésienne. "L'idée m'est venue lors d'un karaoké. Je reprends les mélodies des chansons de Claude François – et celles d'autres artistes –, je les retravaille en y ajoutant des sonorités locales, le dangdut, et j'en modifie les paroles. C'est juste pour mon plaisir. Je n'en tire aucun bénéfice et je ne me considère pas comme un chanteur". Un artiste aux multiples talents dont la ressemblance avec Cloclo est plutôt discutable !
François-Xavier Renou : fâché avec Pierre-Jean Chalençon ?
Nouvelle recrue de l’émission Affaire conclue, François-Xavier Renou semble avoir réussi à se faire une place parmi la bande de Sophie Davant. Pourtant, son arrivée a suscité la jalousie de Pierre-Jean Chalençon, ancien acheteur du programme. "Il ne suffit pas d'être gay avec une veste de folle pour me remplacer", avait taclé l'antiquaire fan de Napoléon.
Une attitude "regrettable et immature" pour le principal concerné, précisant au passage qu’il n’estime pas être son remplaçant. "On ne dit pas ça au sujet de quelqu'un qu'on ne connaît pas. Pierre-Jean a son caractère, mais il devrait être plus prudent avant de tweeter", concède le marchand d’art à Télé Star. "Je ne lui en veux pas car on a plus de points en commun qu'il ne le croit. On est de Rueil-Malmaison tous les deux. Il défend le patrimoine et le souvenir de l'Empereur. Moi, je défends le patrimoine de la chanson française en Asie", avant de conclure. "Je n'ai pas pris sa place : je ne suis même pas assis dans son fauteuil".