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Ses interventions lui ont souvent valu d’être critiquée. En effet, qu’il s’agisse de l’affaire du tweet de soutien à Olivier Falorni, alors rival de Ségolène Royal aux législatives de 2012, de son célèbre "embrasse-moi sur la bouche" adressé à François Hollande ou de la manière dont elle a écarté un journaliste qu’elle jugeait trop proche, Valérie Trierweiler s’est fait remarquer à maintes reprise depuis le soir du 6 mai 2012.
Et cela ne l’a pas aidé à se faire apprécier des Français. Alors que sa cote de popularité ne cessait de chuter, la compagne du chef de l’Etat avait d’ailleurs confié : "Je l’avais dit au départ : je voulais qu’on me laisse le temps, on ne me l’a pas laissé (…) il m’a fallu le temps de prendre mes marques".
"L’influence de Valérie sur le président s’accroît"
Et si Valérie Trierweiler se réjouit aujourd’hui d’avoir enfin réussi à prendre ses marques, à l’Elysée certains grincent des dents. Selon les informations de Challenges qui cite un proche de François Hollande, "l’influence de Valérie sur le président s’accroît à mesure que les difficultés s’accumulent".
Ainsi, l’hebdomadaire déplore que "bien qu’elle s’en défende, c’est bien elle qui a poussé le président de la République à intervenir à la télévision pour proposer à Leonarda (ndlr : la jeune rom dont l’expulsion au Kosovo a fait polémique) de revenir en France sans sa famille". Une proposition que l’adolescente avait refusée et qui avait quelque peu ridiculisé le président.
Claude Sérillon serait encore dans son viseur
Mais François Hollande ne serait pas le seul à souffrir de l’autorité de sa compagne. Il y a quelques mois, le Point rapportait en effet que celle-ci livrerait une guerre sans merci à Claude Sérillon, le conseiller du président. En cause : l’arrivée de cet homme dans l’équipe de communication du chef de l’Etat et le fait qu’il se serait "mêlé de la vie" intime de la journaliste chez Paris Match. Selon Challenges, celui-ci verrait ainsi la plupart de ces décisions contrecarrées par Valérie Trierweiler et par Stéphane Ruet, "un ancien paparazzi qu’elle aurait fait nommer à l’Elysée".
Ainsi, alors qu’elle semblait se racheter une conduite ces derniers mois en veillant à ne pas intervenir dans les affaires de l’Etat et en ne tweetant plus, Valérie Trierweiler n’aurait cependant rien perdu de son côté vindicatif. Mais elle le garderait pour l’intérieur des murs de l’Elysée.
A revoir en vidéo : Valérie Trierweiler se confie sur ses difficultés à s'épanouir à l'Elysée