De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
« Elle avait eu la gentillesse de m’envoyer un sms »
Destinataire du malheureux tweet, Olivier Falorni avait toujours refusé de commenter l’incident. Il est sorti de son silence ce jeudi, dans un numéro de Complément d’enquête consacré à la compagne du président de la République. Il a confié que Valérie Trierweiler l’avait prévenu à l’avance. « J'ai le réflexe de regarder mon portable. Elle avait eu la gentillesse de m'envoyer un SMS auparavant pour me prévenir qu'elle m'avait soutenu » a-t-il expliqué. « C'était très simple, elle m'annonçait qu'elle avait envoyé un tweet, de façon très naturelle, entre amis ».
Une erreur de sa part
Si pour Olivier Falorni, « Valérie Trierweiler est une femme moderne qui veut garder son autonomie de pensée et financière », il reconnait aussi que c’était une bêtise. « C'était sûrement une erreur parce qu'on attend de la première dame qu'elle se taise, qu'elle reste dans sa cuisine, qu'elle continue son travail de plante verte » déclare-t-il. Depuis, Valérie Trierweiler utilise Twitter de manière beaucoup moins polémique. « J'ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n'avais pas encore réalisé que je n'étais plus seulement une simple citoyenne. Cela ne se reproduira pas » avait assuré la Première dame il y a quelques mois dans un entretien accordé à Ouest-France.