271 000. C’est le nombre de victimes de violences conjugales en 2023, soit une hausse de 10% en un an en France. Voici les départements particulièrement concernés.
Si accueillir le Tour de France génère une plus-value indéniable pour les villes étapes, cela nécessite aussi un coup important, rapporte Le Point. Si les villes étapes bénéficient de la visibilité médiatique, l’arrivée des touristes pour le bonheur des commerçants, pour autant, combien ont-elles déboursé pour héberger la Grande Boucle ?
Les collectivités doivent fixer les montants auprès du propriétaire de l’évènement, Amaury Sport Organisation (ASO). Pour les villes qui souhaitent accueillir un départ, il faut s’acquitter d'un montant d’environ 65 000 euros. Pour celles qui veulent organiser l’arrivée d’une étape, la somme est de 110 000 euros. Si une municipalité souhaite héberger un départ et une arrivée, il faudra débourser 160 000 euros. Enfin, pour organiser le célèbre "grand départ", les villes doivent investir entre deux et dix millions d’euros.
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Il faut aménager les routes et le village
A cela, il faut aussi ajouter l’aménagement du village de départ des coureurs ou encore l’aménagement des routes. Ainsi, certaines villes peuvent dépenser plusieurs centaines de milliers d’euros. C’est le cas de Mende (Lozère) qui a déboursé 600 000 euros l’an dernier pour accueillir l’arrivée de la 14 e étape et le départ de la 15 e.
Mais ces sommes n’effraient pas les villes. Chaque année, plus de 200 municipalités candidatent auprès d’ASO. Cette année, c’est au Mont-Saint-Michel, en Normandie, que le départ a été lancé.