Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
A l’été 1963, le général de Gaulle qui avait refusé l’entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché commun, donna en exemple le traité franco-allemand ouvert selon lui sur « l’Europe des Etats ». Mais il savait aussi, en fin connaisseur de l’histoire du monde, que les traités sont fragiles.
Pour dire leur fragilité, il choisit cet exemple des roses et des jeunes filles devant des visiteurs réunis à l’Elysée le 2 juillet. Un parallèle bucolique et poétique qui étonna ses interlocuteurs.
Trois jours plus tard, à Bonn, au cours d’un tête à tête avec le chancelier allemand Adenauer, il reprit ce parallèle en disant : « Monsieur le chancelier, le traité n’est pas une rose, pas même un rosier, mais une roseraie. Une rose ne dure que l’espace d’un matin ; les jeunes filles aussi. Mais une roseraie dure très longtemps ». Oui, le général savait aussi se faire poète…