La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Depuis le 7 mars dernier et l’appel de l’intersyndicale à "mettre la France à l’arrêt", les expéditions de carburant sont interrompues en France. Pour marquer son opposition à la réforme des retraites, la CGT-Chimie a choisi de s’attaquer à l'approvisionnement à la pompe. Elle paralyse des raffineries depuis plusieurs jours un peu partout en France.
Et, depuis l’annonce du rejet de la motion de censure ce lundi 20 mars, la grève s’est durcie dans les raffineries. Ce mardi 21 mars, 10% des stations-service manquent d'un ou plusieurs carburants, soit 6 points de plus par rapport à la semaine dernière, selon Le Figaro.
Pénurie de carburant : 23 départements sont touchés
Dans la soirée du lundi 20 mars, les sept raffineries françaises ont reconduit leur blocage des expéditions de carburant. À Gonfreville-l’Orcher (Seine-Maritime), les électriciens et les dockers se sont joints aux grévistes. A Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), le dépôt d’entrée portuaire de Fluxel et le plus grand dépôt de chargement de camions-citernes de France sont à l’arrêt. Le gouvernement a prévu des réquisitions au dépôt pétrolier de Fos.
"La France compte 200 dépôts pétroliers pour près de 11 000 stations-service. Ce lundi, seuls 8 dépôts [étaient] bloqués, ce qui ne nous fait pas craindre de véritable pénurie", explique Olivier Gantois, président de l'Union française des industries pétrolières énergies et mobilités (Ufip) à La Dépêche du Midi. Pourtant, le mouvement de grève prévoit de s’inscrire dans la durée et les automobilistes se ruent à la pompe par peur des pénuries.
Découvrez dans notre diaporama ci-dessous quels sont les départements en situation de pénurie totale ou partielle ce mardi 21 mars, selon Le Figaro.