De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le diaporama indique les lieux où le pass sanitaire ne sera pas obligatoire. Source : Interview de Jean Castex, Premier ministre, dans Le Parisien.
"Je le dis de la façon la plus claire : nous sommes enfin en train de sortir durablement de cette crise sanitaire", avance, ce mardi 11 mai, le chef du gouvernement dans les colonnes du quotidien francilien. Un constat qui semble donc signifier que rien ne s'oppose à la suite du processus de réouverture du pays.
La prochaine étape, désormais en vue, est celle du 19 mai. Dès cette date, il sera possible de se rendre sur les terrasses. Certaines restrictions demeureront tout de même en vigueur : il ne sera ainsi pas possible d'être plus de six convives à table.
Pass sanitaire : il ne sera pas obligatoire partout
Une question persiste cependant : dans quels lieux faudra-t-il présenter un pass sanitaire pour pouvoir entrer ? L'objectif de ce dispositif est, rappelons-le, de limiter les contaminations dans certains lieux publics. Pour pouvoir accéder à certains types d'établissements ou certains événements, il faudra donc prouver, via ce pass sanitaire, que l'on est pas porteur du virus. Pour cela trois possibilités demeurent.
Soit l'on est vacciné, auquel cas pas d'inquiétudes à avoir à priori, soit l'on est détenteur d'un test négatif, soit l'on peut prouvé avoir été malade et être désormais guéri.
Hier, lundi 10 mai, "les députés ont donné un premier feu vert à cette mesure", rapporte20 Minutes. "C'est la condition de la liberté", a expliqué Roland Lescure, député de la majorité présidentielle. Un argument qui n'a pas forcément convaincu tout le monde, notamment parmi l'opposition. Eric Coquerel, élu de la France Insoumise, y voit ainsi "la mesure la plus coercitive de contrôle depuis le début de la crise du covid".
Ce dispositif ne sera cependant pas nécessaire pour accéder à tous les lieux publics, découvrez notre récapitulatif dans le diaporama ci-dessus.