La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
La superstition est une tendance universelle. En effet, on retrouve des traditions portant sur la chance ou, au contraire, la malchance, dans presque toutes les cultures ! Ces croyances prennent plus ou moins d’importance dans la vie de tous les jours, en fonction de cultures et du degré de superstition de chacun. En France, seulement 34% de la population se définit comme superstitieuse, d’après une étude de la FDJ*. La sensibilité à la superstition serait corrélée à l’âge : en effet, près de 54% des moins de 35 ans se considèrent superstitieux.
L’apparition de croyances superstitieuses remonte à la nuit des temps, ou plutôt au berceau de l’Humanité ! En effet, ces croyances étaient en premier lieu une manière d’expliquer certains phénomènes alors incompréhensibles pour l’Homme, comme le rapporte CeSCuP. Aujourd’hui, alors même que certains phénomènes naturels et même humains n’ont toujours pas été totalement éclaircis, la superstition est également un mécanisme de défense face à l’angoisse de l’inconnu.
Pourquoi est-on superstitieux ?
Se conformer à certaines traditions ou superstitions peut être, pour certains, un moyen de se rassurer. Cela peut nous donner l’illusion que l’on a une influence sur le cours des choses, aussi minime soit-elle. A dose homéopathique, la superstition peut faire rire ou encore donner un prétexte pour perpétuer des traditions inoffensives auxquelles on tient car elles ont bercé notre enfance. C’est aussi une question d’identité culturelle : suivre certaines traditions plutôt que d’autres permet de s’identifier et de se sentir appartenir à telle ou telle culture.
Retrouvez donc ci-dessous 15 superstitions censées porter chance au Nouvel An, qui nous viennent du monde entier.
* Enquête menée par le cabinet Consumer Science and Analytics (CSA) auprès de 2005 individus âgés de 18 ans et plus.