Ce lundi 25 novembre, 43 départements sont touchés par une vigilance pour vent violent. Découvrez si vous êtes concerné.
Le mois de juin est sur le point de s’achever, laissant derrière lui un goût amer. En effet, au lieu des traditionnels premiers rayons de soleil et premières journées d’été, les Français, et notamment ceux de la moitié nord, ont eu droit à de la pluie, parfois même des inondations, mais aussi de la grisaille, des orages et des températures basses pour la saison.
Plusieurs éléments responsablesLa faute à plusieurs éléments, explique RTL qui a interrogé le météorologiste Lionel Savayre : l’anticyclone des Açores et les dépressions qui arrivent de l’Ouest. Le premier n’aurait "pas bien fait son boulot" en ne se déplaçant pas vers l’Europe de l’Ouest, tandis que les secondes qui se forment sur l’Atlantique nord se trouvent actuellement au-dessus de l’Hexagone alors qu’elles "n’ont rien à (y) faire". "Habituellement dans une saison standard, elles tendent à circuler un peu plus au nord qu'actuellement. En ce mois de juin elles débordent un peu plus que d'habitude sur la France avec des passages pluvieux, des averses orageuses associées", a détaillé l’employé de Météo France à Rennes.
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Une situation liée au réchauffement climatique, s’interroge la radio. Oui et non, répond le météorologiste qui préfére parler de la "variabilité classique du climat", sans toutefois exclure que ces changements soient liés à des "phénomènes lointains" découlant eux-mêmes du réchauffement climatique.