De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Certains ménages se souviendront longtemps de l'attente qui a précédé "le plus beau jour de leur vie". Des mariages repoussés puis parfois annulés, la crise sanitaire n'aura pas vraiment été la meilleur alliée des futurs époux.
Le 19 mai prochain marquera enfin le retour des fêtes de mariage. Les châteaux, églises et autres salles des fêtes pourront donc à nouveau accueillir les mariés et leurs invités. Jusqu'au 9 juin, la jauge du nombre de convives sera fixée à 35% de la capacité de la salle de reception, révèle Le Parisien.
"En France, en moyenne, les salles des fêtes font 200 mètres carrés. Cela signifie que l'on pourra réunir dans un premier temps environ 70 invités", explique Mélissa Humbert, porte-parole de l'Union des professionnels solidaires de l'événementiel (UPSE), dans les colonnes du quotidien francilien. Les repas assis resteront cependant prohibés dans un premier temps.
Mariage en temps de crise sanitaire : une jauge de convives à ne pas dépasser
La deuxième partie du processus se fera le 9 juin. Dès cette date, "50% de l'espace pourra être occupé en intérieur, 65% en extérieur". Les dîners placés seront alors également autorisés. Enfin le 30 juin, il sera enfin possible de célébrer l'amour sans restriction.
Les tests PCR ne seront, eux, pas obligatoires pour les participants. Reste cependant une interrogation. Qu'en sera-t-il de la règle du couvre-feu ? Les festivités devront-elles prendre fin dès l'horaire fatidique ? D'après les informations du Parisien, les autorités réfléchissent encore sur ce point. La célébration d'un mariage pourrait alors devenir un motif dérogatoire.
D'après les estimations de l'UPSA, près de 40 000 mariages pourraient être célébrés dès le mois de juin.
Ces règles peuvent évidemment changer à tout moment en fonction de la situation sanitaire.