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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Des variants sous étroite surveillance. Alors que le variant anglais est devenu dominant en France avec plus de 80 % de tests positifs, les variants V2 et V3, respectivement les variants sud-africain et brésilien, circulent, eux-aussi, de plus en plus rapidement sur le territoire. Ces variant inquiètent particulièrement les autorités. En cause : ils sont suspectés d’être partiellement résistants aux vaccins et seraient plus contagieux et plus virulents.
Les passagers en provenance de cinq pays jugés à risque (le Brésil, l'Afrique du Sud, l'Inde, l'Argentine et le Chili) doivent désormais réaliser un test antigénique à leur arrivée dans l'Hexagone puis s'isoler pendant dix jours. Une mesure barrière qui est censée réduire les risques. Selon les experts, le Brésil est en train de perdre le contrôle de l’épidémie. Avec plus de 400 000 morts et 92 variants détectés, le président Jair Bolsonaro continue, lui, de minimiser la gravité de la situation.
"Ce qu'il se passe en Inde et au Brésil peut se produire n'importe où", a récemment averti Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), mettant en garde sur l'assouplissement des restrictions en Europe. Alors que les entrées à l'hôpital et en réanimation semblent enfin diminuer, un autre variant inquiète toutefois les autorités : le variant indien. Présent depuis peu sur le territoire, ce variant ne circule pas encore activement dans l’Hexagone. Par exemple, selon les autorités, il n’aurait pas encore été détecté en Île-de-France mais sa traque a d’ores et déjà été lancée sur l’ensemble du territoire.
Découvrez les départements où les variants sud-africain et brésilien circulent le plus.
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