De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
De l'espoir pour les prochains mois. Les rebonds épidémiques tant redoutés après les fêtes de fin d'année puis avec l'arrivée des variants n'ont pas eu lieu - pour l'instant. L'épidémie est toujours sur un plateau haut en France, avec une moyenne de 19 000 nouveaux cas par jour la semaine dernière. Si les indicateurs sont à la baisse, la tension sur les hôpitaux restent importante et la situation pourrait changer du jour au lendemain, à cause de la circulation des nouveaux variants. Des scientifiques de l'Inserm ont d'ailleurs imaginé trois scénarios pour les prochaines semaines, du plus optimiste au plus pessimiste.
Coronavirus : l'espoir du gouvernement
Olivier Véran, lui, se veut optimiste. Répondant aux questions de l'Assemblée nationale ce mardi 16 février, le ministre de la Santé a dit espérer "que 2021 sera l'année de la victoire contre la pandémie" et pas celle "des variants". Il a rappelé que la France était "l'un des trois pays de l'Union européenne qui teste le plus, mois après mois" et même le premier pays européen "à être en mesure de déployer 200 000 à 300 000 tests salivaires par semaine".
L'Europe semble avoir entamé une lente décrue des contaminations depuis le début du mois de janvier avec une moyenne de 130 000 cas détectés au 14 février, contre 250 000 au 5 janvier. Si les chiffres nationaux donnent de l'espoir, qu'en est-il au niveau départemental ? Le taux d'incidence est encore trop élevé dans six d'entre eux, car il dépasse les 250 cas pour 100 000 habitants. Le risque est donc un peu plus grand d'y croiser une personne contaminée lors d'un rassemblement privé. Dans d'autres, le risque est faible, voire nul. Découvrez lesquels dans le diaporama ci-dessus.