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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Selon une étude Yougov de l’Observatoire Européen de l’Infidélité (OEL) affilié au site de rencontres extra-conjugal Gleeden,38% des Françaises avouent avoir déjà été infidèles. C’est une multiplication par 4 du phénomène depuis les années 1970. Elles rattrapent presque les hommes, à 46% en 2022. Ce chiffre est en léger recul depuis 2016, où il avait atteint à ce moment un taux de 49%.
En revanche, d’après les résultats, les Français ne sont pas les plus adultérins. Comme les Belges et les Italiens, 78% de nos compatriotes interrogés pensent qu’il est possible de ne pas tromper son ou sa partenaire pendant sa vie. En revanche, cela signifie que 22% estiment l’inverse. Cette statistique de non-adultère est plutôt basse, comparativement à la l’Allemagne (82%), à l'Espagne ( 84%) et au Royaume-Uni (87%).
La moitié des européens questionnés reconnaissent néanmoins qu’il est possible d’aimer son partenaire tout en lui étant infidèle. C’est notamment le cas en Belgique et au Royaume-Uni, avec 62% de réponses positives, contre 54% en France.
Alors quels sont les véritables motifs de cette pratique ? Le diaporama ci-dessous présente les raisons qui poussent à l’adultère, en France. Sur une base de 486 personnes interrogées ayant déjà été infidèles.
Globalement, le phénomène est plus ou moins répandue selon le pays :
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