Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Depuis plusieurs semaines maintenant, les deux clans Hallyday s’affrontent par médias interposés autour de l’héritage du taulier. Ce dernier exclut ses deux ainés, David Hallyday et Laura Smet, qui ont décidé de porter l’affaire en justice. Les people qui connaissaient bien le rockeur ont pris position dont dernièrement Nathalie Baye, mais pour Pascal Louvrier, certains n’ont pas forcément légitimité à parler.
"Chacun y va de ses critiques. Ce qui m’étonne un peu c’est que j’entends parler de gens qui n’étaient plus dans son entourage depuis très longtemps. A quelle époque l’ont-ils bien connu ? Il faut remettre des dates. Johnny Hallyday, il y a 23 ans, avait épousé Laeticia. Depuis, il avait reconstruit sa vie autour d’elle et de ses deux petites filles, Jade et Joy. C’était un bonheur inespéré. On n’interroge pas ses amis de cette période récente, et quand on le fait on ne prend pas en compte leurs témoignages", s’étonne Pascal Louvrier.
A lire aussi : Johnny Hallyday : son projet fou avant de mourir
Laeticia en petite forme
Le biographe de Johnny ne croît pas à la thèse de la manipulation – "Johnny voulait que ça soit ainsi" - et s’interroge aussi sur les motivations de quelques-uns. "Je suis étonné que des gens parlent, alors que ce sont des gens qui ont été écartés depuis très longtemps du cercle intime de Johnny Hallyday, pour des raisons diverses et variées. Je pense que ce sont des gens qui sont un peu aigris", dit-il avant d’évoquer un "procès à charge" contre Laeticia Hallyday.
Selon lui, la veuve de Johnny Hallyday n’est pas au mieux de sa forme. "Imaginez de passer de la femme la plus adulée de France, au mois de décembre, à la femme la plus insultée... Vous imaginez qu’elle n’est pas dans une forme exceptionnelle. Il ne faut pas oublier qu’elle a perdu son mari il y a trois mois. Il faut respecter son deuil, quoi qu’on en pense", insiste Pascal Louvrier.