La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Avons-nous été trop optimistes ? La cinquième vague du Covid-19 a bien reculé dans l'Hexagone, mais ces derniers jours ont été marqués par une nouvelle hausse des cas, après des semaines consécutives de baisse. Selon les derniers chiffres publiés par Santé Publique France, 74 818 nouveaux cas ont été enregistrés au 10 mars et le taux d'incidence est de 567 pour 100 000 habitants, un peu plus que les jours précédents. Le taux de reproduction du virus a lui aussi augmenté puisqu'il est de 0,8 alors qu'il était à 0,6 ces derniers jours. Sans surprise, Omicron est toujours majoritaire dans le territoire.
Covid-19 : frémissement ou vrai rebond ?
Le nombre de cas est de nouveau en hausse dans une trentaine de départements, majoritairement dans la moitié nord-ouest du pays, même si quelques territoires de l'Est commencent à être concernés. Faut-il s'inquiéter dès maintenant ? Pour l'heure, le gouvernement appelle seulement au maintien de la vigilance, de même que certains experts, qui attendent de voir ce qu'il va se passer. Il ne pourrait s'agir que d'un frémissement, mais aussi d'une nouvelle hausse liée au sous-variant d'Omicron... Seules les prochaines semaines le diront.
Une chose est sûre, ce rebond des contaminations tombe au pire moment pour l'exécutif, qui s'apprête à lever les toutes dernières restrictions sur le territoire. En effet, à partir du lundi 14 mars, le pass vaccinal sera supprimé dans tous les établissements où il est obligatoire et vous n'aurez plus à porter votre masque dans les lieux clos, sauf les transports de voyageurs, en raison de la forte promiscuité. Faut-il s'attendre au pire dans les prochaines semaines ? Si certains départements sont de nouveau dans le rouge, aussi bien au niveau des cas que des hospitalisations, d'autres affichent au contraire de bons indicateurs. Dans ces 12 territoires par exemple, les services de réanimation sont presque vides. Voici lesquels.