La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Un nombre de nouveaux cas quotidiens au-dessus des 15 000. Si on est loin de la flambée épidémique redoutée, la circulation du virus est encore loin d'être maîtrisée dans l'Hexagone. Le ministre de la Santé Olivier Véran a affirmé ce mardi 19 janvier sur France Inter que le niveau de circulation du coronavirus "est à la fois élevé et relativement stable". Selon les données remontées par Santé Publique France, le taux d'incidence en France était en moyenne de 188,1 entre le 9 et le 15 janvier. Certains départements sont bien au-dessus et frôlent la barre des 500, quand d'autres sont toujours en dessous.
Coronavirus : des taux d'incidence en hausse ces dernières semaines
Coupée en deux entre l'Est et l'Ouest durant la deuxième vague, la France affiche désormais une carte plus diffuse du virus, puisque des départements de l'ouest du pays sont désormais aussi touchés que certains de l'Est. C'est notamment le cas de la Gironde et des Landes, qui affichent des taux d'incidence se rapprochant de ceux du Haut-Rhin ou de l'Isère. Lorsqu'on regarde les chiffres au niveau des métropoles de l'Hexagone, on se rend compte que le taux d'incidence a augmenté partout ces dernières semaines, après une accalmie au moment des fêtes de Noël.
Plus inquiétant encore, il est dans certaines villes bien au-dessus du niveau enregistré juste avant les fêtes. C'est notamment le cas de Marseille et de Toulon. Pour rappel, le taux d'incidence donne le nombre de cas détectés pour 100 000 habitants et est donc un indicateur de la circulation du virus. Lorsqu'il dépasse 250, un territoire est considéré comme en situation d'alerte maximale. Quelles sont actuellement les métropoles où le Covid-19 circule le plus ? Découvrez le dans le diaporama ci-dessus.