Le prix de l’or a atteint des sommets historiques en 2024 dépassant les 2 500 euros pour une once d’or. Faut-il vendre ou continuer d’investir dans ce métal précieux ? On fait le point.
Et si nos fidèles compagnons étaient l’une des solutions pour que le déconfinement se passe dans les meilleures conditions possibles ? La sortie de la distanciation sociale pose en effet énormément de questions. La première : comment tester des millions d’habitants pour empêcher que la pandémie reparte ?
Voici pourquoi des chercheurs en Angleterre, en partenariat avec l’université de Durham, la London School of Hygiene and Tropical médecine et l’association Médical Detection Dogs, font actuellement une expérimentation. Durant six semaines, ils vont dresser des chiens à détecter les odeurs de patients contaminés par le Covid-19. Et ce, à différents stades de leurs symptômes, rapporte franceinfo.
Coronavirus : des chiens renifleurs en complément des tests ?
Tout comme en France, les Anglais font face à un problème majeur : le manque de tests de dépistage. Ils n’en réalisent à l’heure actuelle que 10 000 par jour. Selon les chercheurs de l’université de Durham, comme Steve Lindsay, ces chiens renifleurs de Covid-19 pourraient être utilisés pour effectuer un pré-diagnostic dans les aéroports ou les gares. Cela afin de cibler les individus à tester en priorité ou bien à mettre en quarantaine.
Nos fidèles amis ont d’ailleurs déjà prouvé leur efficacité pour d’autres maladies comme la malaria, Alzheimer, Parkinson ou le cancer. En France, l’Institut Curie utilise en effet les chiens renifleurs via l’expérience Kdog, pour diagnostiquer le cancer du sein. Les chiens sont entraînés à renifler des lingettes portées toute une nuit par 450 patientes. Les premiers résultats sont très prometteurs puisqu’il y a 90% de réussite.
De quoi donner de l’espoir pour la pandémie de Covid-19. Un maître français et son chien se sont joints cette semaine à l’expérimentation britannique.