La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Il a pris la parole pour la première fois. Patrick Poivre d’Arvor fait l’objet d’une enquête pour viols, selon les révélations du Parisien faites le 18 février dernier. L’écrivaine Florence Porcel l’accuse d’avoir abusé d’elle à deux reprises, en 2004 et 2009 et a donc déposé une plainte contre lui. Des accusations que l’ancien présentateur du journal télévisé de TF1 qualifie de "fantaisistes" et "inspirées par une quête de notoriété inconvenante".
PPDA : "Claire Chazal est horrifiée"
Invité sur le plateau de Quotidien (TMC) mercredi 3 mars, Patrick Poivre d’Arvor a affirmé son innocence une nouvelle fois, assurant que "rien ne s’est passé" entre "cette femme" et lui, qu’il aurait vu "5 ou 6 fois maximum". "Elle m’a beaucoup écrit à sa demande (…) J’ai rendu service, je ne pensais pas un quart de seconde qu’un jour, la foudre allait me tomber dessus", a-t-il expliqué à Yann Barthès, le présentateur de l’émission.
L’ancienne star de TF1 a également profité de son passage sur TMC pour réagir à différentes rumeurs qui se sont propagées après la publication de l’enquête du Parisien. "On a dit des horreurs, on a dit que j’avais uriné sur le canapé de Claire Chazal, interrogez-là, elle est horrifiée par ce type d’attaques aussi basses", a-t-il expliqué, ajoutant n’avoir "vu que des inventions, des inventions totales, absolues".
Invitée sur France Inter ce jeudi 4 mars, Claire Chazal a défendu son ancien compagnon, expliquant : "Bien qu'étant séducteur, aimant bien sûr conquérir, aimant même peut-être multiplier les conquêtes féminines, il n'est en rien ni dans la violence ni dans la force". "Ce qu'il aime c'est convaincre par la parole, par ce qu'il est, par son charme, par sa position aussi - pourquoi ne pas le dire. En rien arriver à forcer quelqu'un. Je pense même qu'il y a un orgueil chez lui qui fait que charmer, être aimé, c'est ce qu'il souhaite avant tout et non pas forcer".