La prime de Noël est versée à plus de deux millions de ménages éligibles sous conditions chaque année. Découvrez le montant auquel elle s’élève cette année.
Elise Lucet ne sera pas jugée devant le tribunal pour diffamation. Le tribunal correctionnel de Nanterre a estimé que la procédure engagée par l’Azerbaïdjan n’était pas recevable. Elle visait Elise Lucet, le journaliste Laurent Richard, mais également France Télévision et donc la présidente du groupe, Delphine Ernotte.
Tout commence en septembre 2015 quand Cash Investigation, alors consacré aux voyages des présidents, diffuse un reportage de Laurent Richard sur le régime de Bakou. En introduction, le pays est décrit comme l’une des dictatures "les plus féroces au monde". Dans la foulée, le président était qualifié de dictateur par le journaliste.
A lire aussi: Elise Lucet : ses amis punk, les volcans, sa fille… 5 choses à savoir sur la journaliste
La défense a été entendue
Lors d'une audience début septembre, Elise Lucet s’était défendue de faire de ‘’l’opinion’’ et avait défendu son émission comme une émission d’investigation. "Imaginez que la Corée du Nord ou la Turquie intentent un procès à chaque journaliste qui les qualifient de dictatures ! C’est tout simplement la liberté de la presse qui est remise en cause", avait lancé la journaliste. Elise Lucet avait d’ailleurs souligné que la plainte portait uniquement sur ces propos et non sur le contenu du reportage comme le souligne le Nouvel Obs.
Du côté de l’accusation, on avait défendu un pays en "transition", aux "antipodes de ce qu’on appelle une dictature".
Ce mardi, le magazine Cash Investigation sera consacré au Paradise Papers.