De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Dans toutes les campagnes de France, des histoires se transmettent. Chaque petite commune hérite de ses légendes locales. Réalité avérée ou pure invention, ces drôles d'anecdotes font la richesse du patrimoine français.
Le long de la D48 , qui relie Coquainvilliers à Pont-l'Evêque dans le Calvados, c'est une sorte de tombe qui a éveillé la curiosité des habitants du coin. Corinne Machetel est l'une de ces personnes dont la curiosité s'est soudain réveillée. Cette présidente d'association culturelle a décidé de relater quelques unes de ses découvertes au sujet de l'édifice auprès du site d'informations Actu.fr..
Une tombe située le long d'une route qui intrigue
Cette passionnée d'histoire cherche d'abord à déchiffrer les inscriptions gravées sur la roche. Elle peut alors y lire : "Famille Lecoq, heureux les morts qui meurent au Seigneur". Le voile semble donc s'éclaircir. Une joie pour Corinne Machetel, que ce drôle de monument intriguait depuis longtemps déjà. "Cela fait trente ans que je passe devant et cela me poursuit", confie-t-elle dans les colonnes du site d'actu local.
Au fur et à mesure de ces recherches, la Calvadosienne en apprend un peu plus sur cette lignée des Lecoq. D'après cette dernière, il s'agit "d'une famille d'agriculteurs vraisemblablement aisée si l'on en juge l'imposant monument qui a fait érigé cette stèle au XIXème siècle".
Toute la vérité n'est cependant pas encore connue autour de la fameuse tombe de la D28. Corinne Machetel espère d'ailleurs croiser "des descendants de la famille Lecoq pour l'aider à reconstruire la genèse d'une histoire familiale".