La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Beaucoup de gens cherchent encore la recette du bonheur. Les résultats de l’enquête* récemment dévoilée par l’Insee devraient certainement les aiguiller sur le chemin à suivre pour parvenir à l’épanouissement total. Ainsi pour être heureux, il faudrait être à l’aise financièrement mais également disposer d’un entourage stable et d’un quotidien qui ne soit pas trop stressant. L’Insee indique ainsi que malgré "le fort effet apparent du revenu" sur le sentiment de bien-être que peuvent éprouver les Français, "les écarts de bien-être ne se réduisent pas à des écarts de ressources".
Travail, santé et sécurité
L’Institut a ensuite précisé que "ce ne sont pas seulement les restrictions monétaires, contraintes financières ou faibles revenus, qui vont de pair avec une moindre satisfaction (…) d’autres aspects de la qualité de vie, comme la faiblesse des liens sociaux ou le stress dans la vie courante, jouent autant, voire davantage que les contraintes financières". En tête des éléments qui influent sur le bien-être on retrouve ainsi les difficultés liées à la santé, au logement et à l’insécurité physique et économique.
"Les adultes vivant en France métropolitaine déclarent en 2001 un niveau moyen de satisfaction dans la vie de 6,8 sur une échelle allant de 0 à 10", a également relevé l’Institut avant d'ajouter que "si 13% d’entre eux estiment leur bien-être à 9 ou 10, ils sont 7% à le situer à moins de 5 sur l’échelle de satisfaction". Toujours selon l’Insee, les sondés sont 22,5% "parmi les personnes les plus modestes à être peu satisfaits de leur vie tandis qu’à l’opposé, 23,4% des personnes les plus satisfaites appartiennent à un ménage à hauts revenus".
*Dix milles personnes âgées de 18 ans ou plus ont répondu à un questionnaire par courrier.