De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un jeu de dupes ? La diplomatie fonctionne selon ses propres codes, qui reposent parfois sur la dissuasion plutôt que l’attaque. C’est notamment le cas en ce qui concerne la puissance nucléaire, cette dernière étant vue avant tout, pour la majorité des pays, comme un moyen de se défendre plutôt que d’attaquer. Vladimir Poutine l’a bien compris en menaçant de représailles nucléaires les pays étrangers qui se mêleraient de son conflit avec l’Ukraine, qu’il a attaquée dans la nuit du 23 au 24 février. Si plusieurs experts appellent à ne pas prendre ses mots au pied de la lettre, pour de nombreux Français, la peur est bel et bien présente.
Attaque nucléaire : une ville comme Nancy rayée de la carte
Il faut dire que la Russie dispose d’un arsenal nucléaire puissant, plus important – selon les estimations – que celui des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni. Que se passerait-il en cas d’attaque nucléaire sur notre sol ? Tout dépend bien sûr de la puissance des ogives utilisées et du point d’impact de la bombe. Comme l’explique Actu.fr, prenant l’exemple d’une ville comme Nancy, si un engin comme la Tsar Bomba – lancée en 1961 – touchait le territoire, ce dernier serait rayé de la carte. Ce serait également le cas des communes alentour. Brûlures, souffle de l’explosion, retombées radioactives… Les conséquences seraient nombreuses et surtout éparpillées sur un périmètre assez large.
Selon Futura Sciences, les habitants de la zone d’impact d’une bombe atomique n’ont quasiment aucune chance de survie, mais ceux qui se trouveraient dans la zone du souffle de l’explosion pourraient en réchapper, s’ils se mettent à l’abri. Il est donc essentiel, en cas d’attaque nucléaire, de se réfugier dans un bâtiment, si possible au sous-sol, afin d’éviter les projections d’objets et les retombées radioactives.