De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Violez, violez, violez", lançait sans hésitation Alain Finkielkraut sur le plateau de La Grande Confrontation (LCI), le 13 novembre 2019. David Pujadas, qui animait alors une émission portant sur la culture du viol ne l’a pas interrompu. "Je dis aux hommes : violez les femmes. D’ailleurs je viole la mienne tous les soirs et elle en a marre", a poursuivi l’écrivain qui d’après Caroline de Haas, présente lors de l’émission, aurait "vraiment pété un câble". "C’était fou, il est sorti de ses gonds, il tremblait sur le plateau", a-t-elle expliqué dans les colonnes de Télé Loisir.
Mais qui est cette femme dont Alain Finkielkraut, déjà connu pour ses déclarations polémiques, prétend qu’il la viole au quotidien ? Il s’agit, rapporte Gala, de Sylvie Topaloff. Avocate au Barreau de Paris depuis le 22 décembre 1976 à en croire Doctrine, un agenda en ligne des avocats, elle rencontre Alain Finkielkraut en 1980 et l’épouse cinq ans plus tard.
Si elle reste discrète dans les médias, elle est néanmoins connue pour avoir pris le parti de l’Association nationale de défense des victimes de l’amiante devant les tribunaux. Elle a aussi défendu Écologie sans frontière L214, qui multiplie les vidéos chocs sur les conditions de vie et de détention des animaux élevés dans le cadre de l’industrie agro-alimentaire.
Spécialisée en droit du travail, elle travaille pour le cabinet TTLA, dont les bureaux sont basés à la fois à Paris et à Marseille. Le cabinet s’est notamment démarqué dans des affaires d’exposition à l’amiante, aux métaux lourds, mais aussi aux rayonnements nucléaires, par exemple.
Alain Finkielkraut dit violer sa femme tous les soirs : en 2015, elle le défendait chez Marc-Olivier Fogiel
Tout aussi polémique que son époux puisse s’avérer, Sylvie Topaloff n’hésite pas à prendre sa défense dans les médias. En 2015, elle intervenait dans Le Divan, de Marc-Olivier Fogiel. Sur le plateau, elle a notamment déploré le "lynchage médiatique" dont il ferait l’objet. Elle en avait profité pour expliquer qu’il rejetait en bloc les nouvelles technologies, au point de ne pas posséder de téléphone portable ou même d’ordinateur. Elle est donc contrainte de rédiger pour lui ses "courriers électroniques", explique Télé Loisir.
Dans le couple, c’est également elle qui travaille puisque de l’aveu de l’écrivain lui-même, il serait "la desperate housewife" de la famille...