Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Elle n’en finit pas de faire les Unes des hebdomadaires. Cette semaine encore, Valérie Trierweiler se retrouve en effet sur la couverture de Paris Match et du Parisien Magazine. Officiellement séparée de François Hollande depuis samedi dernier, l’ancienne Première dame se libére peu à peu des contraintes du pouvoir. Et il semblerait qu’elle ait désromais la ferme intention de s’évertuer à donner sa version des faits. "Cela peut paraître étrange, mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise. Ce n'est pas la première rupture dans ma vie. Elle est violente, car elle est médiatique", a-t-elle expliqué à l’hebdomadaire qui l'emploie. Et si ce dernier la décrit comme étant une femme "à l’aise, parfois caustique, souvent touchante", au Parisien Valérie Trierweiler a affirmé être "une femme libre, célibataire pour la première fois en trente ans".
"Je n’aimais pas les ors de l’Elysée"Revenant également sur sa vie à l’Elysée, Valérie Trierweiler s’est comparée à une femme portant des vêtements "trop petits" que l'on essaie sans cesse de lui "ajuster". "Je n'aimais pas les ors de l'Élysée. L'Inde, c'est un retour vers la liberté, loin du monde politique et de ses trahisons. Moi, j'assume ce que je suis, ce que je dis. On ne peut pas dire que je n'ai rien fait de bien en dix-neuf mois", a-t-elle estimé dans les colonnes du Parisien. A propos du moment où elle a découvert la Une de Closer, l'ancienne Première dame a raconté à Paris Match : "quand j’ai su, j’ai cru tomber d'un gratte-ciel", Après s'être évanouie à l'Elysée, elle a d'ailleurs été hospialisée pendant une semaine à la Pitié-Salpêtrière (Paris). François Hollande "s’inquiétait" pour elleQuant à sa relation avec François Hollande, la journaliste a assuré à ses confrères du Parisien que le président "s’inquiétait de la bonne organisation du voyage et de (s)a santé". Ne nourrissant visiblement aucune rancœur à l’égard de son ex-compagnon qui déclarait pourtant en 2012 qu’elle était "la femme de (s)a vie", Valérie Trierweiler a poursuivi en commentant : "Il faut être deux pour s'aimer mais il suffit d'un pour se quitter (…) A un moment, il n'y a plus de vie. Nous n'avons pas vécu le pouvoir de la même façon. Cela a cassé quelque chose. J'aurais préféré une vie normale, on serait peut-être encore ensemble aujourd'hui".
Et l’ancienne Première dame d’assurer : "Je suis plus dans la déception que dans la colère. Je n’exclus pas d’écrire un livre (…) Ce n’est pas parce qu’on n’est plus Première dame, que la vie s’arrête". Et de préciser qu’elle souhaitait poursuivre sa carrière de journaliste mais pas dans la politique car cela "serait trop compliqué".