Espace : quelle est cette "nouvelle découverte passionnante" que doit annoncer lundi la NASA ?IllustrationAFP
Ce mercredi 21 octobre 2020, l'agence spatiale a déclaré qu'elle révèlera ce lundi 26 octobre une nouvelle découverte "excitante". Que concerne-t-elle ? Voici quelques indices…

Une "révélation majeure" est sur le point d’être annoncée. Comme la NASA l’a indiqué mercredi 21 octobre, dans un communiqué, une "nouvelle découverte passionnante" doit être divulguée le lundi 26 octobre, à 18h en France, via une diffusion en direct sur leur site.S’il faut patienter jusqu’à lundi pour connaître réellement ce que nous réserve la NASA, l’agence spatiale a d’ores et déjà donné quelques indices que voici.

Découverte de la NASA : la Lune dévoilera-t-elle ses secrets ?

Cette découverte, rendue possible grâce à SOFIA, l’Observatoire stratosphérique pour l’astronomie infrarouge, soit un télescope infrarouge aéroporté, va permettre de "mieux connaître la Lune et l'espace lointain", peut-on lire dans le communiqué. Il s'agit en réalité d'un Boeing 747 doté d'un télescope révolutionnaire, utilisé pour étudier l'atmosphère des planètes.

Cette exploration fait partie du programme Artemis de l’agence spatiale, qui vise à déposer un équipage, dont la première femme, sur la surface lunaire d'ici 2024. L’objectif est d'y séjourner sur une longue durée.

Quatre personnes de l’agence participeront à la conférence de presse. Trois d'entre eux, Paul Hertz, Jacob Bleacher et Naseem Rangwala, sont des cadres supérieurs représentant la division d'astrophysique de la Nasa et sa direction des missions d'explorations et d'opérations humaines, et de la mission Sofia.

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La quatrième personne est Casey Honniball, un stagiaire postdoctoral au Goddard Space Flight Center de la Nasa, à Greenbelt dans le Maryland. D’après le site Nasa Watch, celui-ci a mené ces dernières années des recherches approfondies sur la manière dont nous pourrions trouver de l'eau sur la Lune. Un de ses rapports met d’ailleurs en avant une nouvelle technique, réalisable via Sofia, pour détecter des molécules d'eau réelle sur le "satellite".