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Pour de nombreux retraités, c’est le Saint-Graal. La majoration de pension permet en effet de gonfler ses revenus une fois passée la cessation d’activité… ce qui s’avère bien souvent nécessaire quand l’on sait combien il est possible de perdre entre la dernière année - à supposer que celle-ci soit la meilleure ! - de travail et la première année de retraite. Le manque à gagner en question, que l’on appelle d’ailleurs "taux de remplacement", est d’autant plus élevé quand l’on percevait beaucoup avant de liquider ses droits.
Ceci étant, et il importe de le rappeler, les retraités font généralement face à moins de charges que les actifs. La perte de revenus est donc théoriquement absorbée par de moins grandes dépenses, particulièrement pour celles et ceux qui sont d’ores et déjà propriétaires de leur logement et qui ont pu rembourser l’intégralité de leur éventuel emprunt. Ceci étant, cela ne signifie pas que nos anciens ne rencontrent aucune difficulté une fois la retraite prise… Au contraire ! En témoignent en effet les aides dont un certain nombre d’entre eux peuvent bénéficier.
Que faut-il faire pour bénéficier d’une surcote à la retraite ?
Plusieurs situations ouvrent droit à une majoration du niveau de la pension. C’est le cas, par exemple, pour les familles ayant élevé trois enfants ou plus. Ceci étant, la surcote diffère en cela qu’elle ne s’acquiert que par le travail. Pour en profiter, il faut repousser son âge de départ à la retraite. Mais jusqu’où faut-il aller ? Combien peut-on espérer gagner ? Éléments de réponse dans notre diaporama récapitulant les grandes questions relatives à ce mécanisme très utile pour de nombreux assurés.