La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Récemment, une étude publiée sur Nature Climate Change démontre que nos amis les animaux contribuent à limiter l’avancée du réchauffement climatique. En vivant sur Terre, en mangeant ou voire même en faisant leurs besoins ils nous sont d’une aide considérable puisqu’ils favorisent la capture du carbone. Certaines espèces jouent un rôle-clé pour espérer respecter l’objectif de 1,5° de réchauffement.
Certaines familles d’animaux sont certes en voie de disparition mais leur restauration est proche. Ce qui pourrait participer à la capture de 6,41 gigatonnes de dioxyde de carbone par an.
Capture du carbone : l’objectif de 2100 en ligne de mire
En 2015, la COP de Paris a fixé, d’ici 2100, l'objectif d'éliminer 500 gigatonnes de dioxyde de carbone de l’atmosphère. Nos amis de la faune sont donc des atouts non négligeables. Dans l’étude menée par Nature Climate Change, Oswald Schmitz, professeur à Yale nous explique que "les animaux sauvages ne représentent que 0,3% du carbone contenu dans la biomasse mondiale, et sont donc généralement négligés dans la comptabilisation du carbone". Autrement dit, ils luttent contre le changement climatique tout en risquant leur disparition.
Constamment mis en danger par diverses catastrophes provoquées par l’homme ou naturelles, les poissons sont également des collaborateurs majeurs dans ce combat. Ils seraient les plus gros contributeurs au stockage du carbone avec 5,5 gigatonnes annuelles. S’ils venaient à disparaître, cela entraînerait une perte de 7% du stockage de carbone selon un article publié par Les Echos.
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