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Thierry Lepaon n’est plus à la tête de CGT depuis janvier dernier. Pourtant, d’après le Journal du Dimanche, ce dernier "bénéficie toujours de ce fameux trois-pièces à Vincennes, en location, avec vue sur le bois, et d’une voiture de fonction". L’ancien numéro un de la CGT a confié au journal avoir refusé des propositions de logements plus onéreux. "Je rendrai tout quand j’aurai trouvé de nouvelles activités, cela a été entendu avec la direction de la CGT", a-t-il affirmé.
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Le syndicaliste avait posé sa démission en janvier dernier à cause d'une polémique déclenchée après la parution d'une enquête du Canard enchaîné. Le journal révélait alors d’avoir effectué des travaux de rénovation très coûteux dans ce logement (autour de 100 000 euros) et dans son bureau de fonction (62 000 euros).
"Ils m’ont fait du mal mais ils ont surtout fait du mal à la CGT"
Dans un livre à paraître jeudi et intitulé La vie continue, Thierry Lepaon revient sur cette affaire. Refusant de parler de "vengeance", l’ex-secrétaire général de la CGT a déclaré souhaiter que la direction de la CGT écarte les "traîtres" qui ont livré des documents internes à la presse. "Ils devront rendre des comptes. Qu’ils ne puissent plus avoir de responsabilités importantes dans l’organisation, a-t-il déclaré. Ils m’ont fait du mal mais ils ont surtout fait du mal à la CGT."
D’après lui, sa démission est due à une tentative de déstabilisation en provenance de l’intérieur de l’organisation. Sans donner de noms, il a toutefois dénoncé "une machination, une alliance contre nature entre la presse patronale et de prétendus syndicalistes, par volonté de nuire, non à ma personne, mais à la CGT et à son action".
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