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Alors que Nathalie Kosciusko-Morizet doit annoncer ce mardi sa candidature à la primaire des Républicains, l'ancien garde des Sceaux a critiqué le choix symbolique de cette date.

Dans leur lutte à mort, Rachida Dati et Nathalie Kosciusko-Morizet ne perdent jamais une occasion de s’envoyer des vacheries au visage.

Dernière pique en date, celle du maire du VIIe arrondissement de Paris qui a rouvert les hostilités en apprenant que sa meilleure ennemie allait déclarer sa candidature à la primaire des Républicains le 8 mars, soit lors de la "Journée de la Femme". Une décision qui fait "ricaner" au sein des Républicains, nous apprend Marianne, mais qui agace surtout Rachida Dati : "Elle n'a jamais défendu une femme dans son parcours politique, mais s'est toujours servie de la cause des femmes quand elle était en difficulté."

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Rachida Dati dénonce un mépris de classe au sein des Républicains

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Voilà qui devrait ravir l’ancienne n°2 du parti de droite, dont l’entourage tient tout de même à préciser que c’est cette dernière qui a introduit l’an dernier dans les statuts de l’UMP le principe de listes paritaires pour l’élection du bureau politique du parti.

Mais au-delà du cas de NKM, Rachida Dati dénonce un certain mépris de classe à l’intérieur de sa formation, notamment à l’égard des femmes  : " Pécresse avait une bonne ascendance, Michèle Alliot-Marie aussi. La seule qu'on dénigre, c'est Morano, qui est de condition populaire", a-t-elle estimé.

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