Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
"Mort de #Chirac". Voici ce que Christine Boutin a tweeté mercredi en fin de matinée. Un message laconique, presque brutal, qui a aussitôt déclenché une pluie de critiques. Si bien que, quelques heures plus tard, l’ancienne présidente du Parti chrétien démocrate a dû s’expliquer pour tenter de calmer la gronde. "L’information m’a été donnée par une source que j’estime sûre. Je l’ai donnée car je pense que les Français l’attendent, preuve en est du buzz qu’il a suscité", s’est-elle défendue auprès de nos confrères du Monde. Et celle-ci d’ajouter à propos de la teneur de son message : "ce tweet sobre est la marque de mon deuil et de mon respect".
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Le gendre de Jacques Chirac a démenti
Pourtant, et même si Christine Boutin semble convaincue que Jacques Chirac s’est éteint, l’entourage de ce dernier assure le contraire. Mercredi après-midi, le gendre de l’ancien chef de l’Etat, Frédéric Salat-Baroux a en effet publié un communiqué pour, dans un premier temps, démentir la rumeur de décès et assuré que le père de sa femme était toujours vivant et hospitalisé à Paris. Et, dans un second temps, appelé au respect de "sa tranquillité". "Dans quel monde vit-on où l’on soit contraint de rappeler ces principes fondamentaux d’humanité et de respect ?", s’est-il indigné.