De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
François Hollande est fan de l'équipe de France de football, on le sait. Il suit donc avec attention les résultats dès Bleus pendant la Coupe du monde au Brésil. Il a ainsi déclaré à Canal + qu'il allait soutenir la France "jusqu'au bout".
Et lorsqu'il parle du bout, il parle bien sûr de son souhait de voir la France en finale le 13 juillet prochain, ce qui pourrait perturber l'organisation du défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées.
Le Figaro croit d'ailleurs savoir que des réunions ont actuellement lieu pour reporter éventuellement la cérémonie du 14 juillet au 15 juillet, pour permettre au président d'assister à la finale au Brésil à 22 heures heure française, sans avoir à être présent à Paris le lendemain matin.
"On se débrouillera toujours sur le plan logistique"Sur Canal +, le président avait raconté : "quand je suis allé voir l'équipe de France à Clairefontaine, je leur ai dit : 'les Champs-Elysées vont être pris pour l'éventuelle fête que pourrait être celle de la victoire'" [...] "Mais je leur au dit : 'qu'importe, on se débrouillera toujours sur le plan logistique'". En précisant que "la seule chose, c'est que le défilé du 14 juillet sera le 14 juillet. Mais ne nous compliquons pas la vie, n'essayons pas de toujours prévoir, tout ne se prévoit pas, tout se contruit".
Il avait également été prudent sur le fait de se rendre dès les quarts de finale au Brésil, au risque que les Bleus ne l'atteignent pas, ou au risque que son emploi du temps ne le lui permette pas. François Hollande en a également profité pour faire une allusion à son propre parcours : "Vous avez dit que l'on est à mi-chemin [de la Coupe du monde], ce qui compte ce n'est pas le mi-chemin, c'est le bout du chemin, c'est l'arrivée. Ça vaut pour tout !".
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