La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Avant d’être ministre, Jean-Michel Blanquer a souvent joué au casse-cou. Capital dévoilait récemment quelques unes des aventures de l’ancien directeur général de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (Essec).
A lire aussi :Les apéros de Brigitte Macron à l'Elysée
C’est en 2004 que Jean-Michel Blanquer a manqué de mourir pour la première fois. A l’époque, recteur de l’académie de Guyane, il avait souhaité aller à la rencontre d’enseignants qui travaillaient dans un village perdu dans la forêt. Pour pouvoir les retrouver, il a dû naviguer sur le célèbre fleuve Maroni. Malheureusement, la pirogue qu’il avait emprunté n’a pas su résister aux assauts des rapides qui ont eu raison d’elle. Alors que son embarcation se fendait en deux, le futur ministre a dérivé sur près d’un kilomètre et survécu de peu à la noyade. Il en fait le récit dans son livre, L’école de la vie - Pour que chacun puisse réussir publié aux éditions Odile Jacob en 2014.
Un passionné de deux-roues ?
Plus récemment, en 2015, le ministre de l’Education a de nouveau risqué la mort. Comme le révèle Capital, Jean-Michel Blanquer serait un amoureux des deux-roues. Manifestement, il serait connu de ses amis pour son manque de prudence sur la route. D’après les informations du mensuel, il aurait été percuté frontalement par une voiture qui venait de changer de voie sans prévenir. Il roulait alors en mobylette. Après un vol plané impressionnant, le ministre n’a heureusement souffert que de quelques contusions bénignes. Ce qui n’a pas empêché le directoire de l’Essec de lui demander de se déplacer en voiture de fonction. Jean-Michel Blanquer aurait refusé l’offre "pour ne pas grever les finances".
Aujourd’hui le ministre de l’Education se porte bien et s’attèle désormais à la réforme des maternelles.