5 anecdotes sur Audrey Azoulay, pressentie pour Matignon
Audrey Azoulay pourrait être nommée Première ministre et succéder à Jean Castex à Matignon. Mais que sait-on sur la discrète directrice générale de l’Unesco ?

Féministe et attachée à sa féminité. Avant de se retrouver au centre de tout ou presque des conversations, Audrey Azoulay a été ministre de la Culture durant (l’unique) mandature de François Hollande. Elle succédait alors à Fleur Pellerin, dans le troisième gouvernement établi au cours du mandat et dirigé par Manuel Valls. Puis, passée l’élection d’Emmanuel Macron, elle s’est éloignée du monde de la politique politicienne pour devenir la directrice générale de l’Unesco.

Si son nom émerge de nouveau dans la presse, c’est parce qu’elle pourrait désormais convenir aux exigences du chef de l’Etat nouvellement réélu, qui cherche désespérément un candidat - une candidate, même ! - pour siéger à Matignon et prendre la succession de Jean Castex. Elle n’est cependant pas la seule dont le profil pourrait faire mouche. Les noms de Marisol Touraine et d’Elisabeth Borne ont aussi été régulièrement évoqués.

Afin d’apprendre à mieux connaître la femme qui pourrait gouverner la France dans les jours qui viennent, Planet vous propose une compilation d’anecdotes à son sujet, que vous retrouverez dans le diaporama en conclusion de cet article.

Audrey Azoulay pressentie pour Matignon : une nouvelle inconnue au bataillon ?

Car force est de constater qu’Audrey Azoulay n’est pas très connue. Quand elle a été nommée sous François Hollande, en 2016, elle n’avait même pas de page wikipédia, rapporte le pure-player Slate sur son site. De nombreux journalistes, dont elle était alors la ministre de tutelle, ont d’ailleurs dû rechercher son nom sur Google pour parvenir à poser un visage sur son nom, poursuivaient-ils alors. 

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Dorénavant, cela n’a plus la même aura : un nombre conséquent des figures nommées par Emmanuel Macron ont pu récupérer d’importants maroquins sans nécessairement être très connues du grand public. Certaines n’ont pas eu beaucoup l’occasion d’exister en raison de la crise sanitaire… mais un ministre inconnu apparaît moins étonnant.

C’est une passionnée de mode et de patrimoine

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C’est une passionnée de mode et de patrimoine

Dans les colonnes du Figaro Madame, à qui elle accordait une interview après sa nomination au ministère de la Culture en 2016, Audrey Azoulay a expliqué être passionnée par la mode. "J'aime la mode en tant que femme et comme ministre", déclarait-elle. 

Elle s’est aussi expliquée au sujet du patrimoine, qu’elle semble porter en grande affection. “Nous avons en France un patrimoine exceptionnel. J'ai eu le bonheur, il y a quelques semaines, de visiter la maison Saint Laurent et d'admirer ses remarquables collections. Ce patrimoine, nous devons le préserver et le partager avec le public”, déclarait-elle.

Elle n’aime visiblement pas les mini-jupes

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Elle n’aime visiblement pas les mini-jupes

A la différence de Brigitte Macron, qui est une véritable inconditionnelle des mini-jupes, Audrey Azoulay ne semble pas beaucoup les apprécier. “Je ne portais pas de minijupes avant ma nomination, je n'ai pas eu à les remiser…”, affirmait-elle alors.

C’est une gaffeuse

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C’est une gaffeuse

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Audrey Azoulay enchaîne les gaffes. D’abord sur sa déclaration de patrimoine, alourdie de plus de 600 000 euros superflus (et par la suite retranchés à l’occasion d’une déclaration rectificative !) mais aussi concernant le décès de l'écrivain Michel Butor, informe Closer. Elle s’était alors fendue d’un hommage textuel sur twitter, évoquant La Consolidation, l’ouvrage pour lequel il aurait obtenu un prix Renaudot. Seulement voilà… Il n’a pas écrit La Consolidation. Il est l’auteur de La Modification.

Elle était millionnaire en arrivant au gouvernement

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Elle était millionnaire en arrivant au gouvernement

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