De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La rançon du succès pour Paul El Kharrat. Depuis sa première apparition en 2019 dans Les 12 coups de midi sur TF1, l’étudiant en histoire a connu un beau parcours. Après 153 participations, il a gagné en notoriété auprès du public en devenant le quatrième plus grand joueurde l’émission animée par Jean-Luc Reichmann.
Trois ans après sa médiatisation, Paul El Kharrat a enchaîné les apparitions à la télévision (Le Club des invincibles, Fort Boyard, Les Traîtres…) avant de devenir pensionnaire dans Les Grosses têtes sur RTL. Passionné d’écriture et de littérature, il a publié Ma 153ème victoire, Crimes et mystères de Paris et Bienvenue dans mon monde, paru ce 12 octobre aux Éditions HarperCollins. L’occasion pour l’ancien champion atteint du syndrome d’Asperger d’évoquer son quotidien avec ses joies et ses peines.
"Mes relations amicales sont le miroir de mes relations amoureuses"
"J’ai envie de toucher le plus grand nombre, pour leur faire comprendre mon parcours personnel", explique le Grenoblois de 23 ans pour Planet. Avec un tel parcours, Paul El Kharrat a eu l'occasion de rencontrer ses fans, mais également ses admiratrices. À point de raconter dans son troisième livre son rapport avec l’amour.
"Mes relations amicales sont le miroir de mes relations amoureuses : j’ai éprouvé ce même schéma avec les filles. Si j’en ai connu plusieurs, ce n’était pas tout à fait des amoureuses parce que je ne suis encore jamais tombé amoureux. Pourtant, je pense que j’aurais pu finir par l’être", raconte l’écrivain dans son autobiographie.
"La première fille que j’ai connue, j’avais dix-neuf ans"
Dans un chapitre consacré dans son livre Bienvenue dans mon monde, Paul El Kharrat évoque sans filtre ses rencontres avec la gent féminine durant sa médiatisation dans l'émission de TF1. "La première fille que j’ai connue, j’avais dix-neuf ans", écrit-il. "Elle s’appelait Sarah et elle était plus âgée que moi d’une petite dizaine d’années". Une admiratrice qui l’a contacté sur les réseaux sociaux pour le féliciter avant de poursuivre l’échange. "Comme le courant passait bien, on a décidé de se rencontrer. Je suis allé la voir à Angers, en train".
À leur première rencontre, Paul El Kharrat était séduit par "ses yeux en amande et ses longs cheveux bruns". Mais, tout semblait aller vite pour l’ex-champion. "On a commencé à discuter, et j’ai senti que nos échanges n’étaient plus si fluides. Elle pensait que, en une journée, j’allais tomber amoureux d’elle, qu’on allait se mettre ensemble tout de suite". Après ce rendez-vous raté, Paul a rencontré une autre admiratrice originaire de Lyon. "Laure m’avait écrit après m’avoir vu à la télévision", en ajoutant. "Elle s’est montrée plus chaleureuse sur le quai de la gare quand je suis reparti mais je ne l’ai jamais revu, elle non plus".
"J’ai même eu une 'histoire' qui a duré un an"
À travers les pages de son livre, Paul El Kharrat détaille deux autres rencontres insolites sur le plateau des 12 coups de midi. "L’une était mon adversaire, l’autre dans le public ! La première, une fois qu’on a pris un café ensemble, m’a repoussé en disant qu’elle n’aurait pas de temps à m’accorder à cause de ses études d’ingénieure", avant de poursuivre. "Quant à la seconde, on avait commencé à se parler sur Instagram, c’est moi qui l’avais abordé car j’avais vu qu’elle s’était abonnée à mon compte, alors j’avais sauté le pas".
Loin de se laisser abattre, Paul El Kharrat a poursuivi les rendez-vous galants avant de glisser une confidence. "Il y a eu d’autres rendez-vous et j’ai même eu une "histoire" qui a duré un an". S'il reste discret sur l’identité de cette ex-partenaire, ils ne considéraient pas que leur histoire allait durer. Avant de connaître un jour le grand amour, celui qui se verrait bien comédien préfère relativiser sur sa vie intime. "Même si mes tentatives ne sont pour le moment que plus ou moins concluantes, je voudrais rencontrer quelqu’un avec qui je pourrais construire une famille", conclut-il dans son livre.
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