Les concentrations moyennes de résidus de chloridazone, un pesticide retiré du marché depuis 2020 dépassent la valeur maximale établie au niveau européen dans de nombreux départements, d’après un rapport de...
Nous sommes au mois d’août 884. Du haut de ses 18 ans et d’une jeunesse passée à guerroyer contre Hugues le bâtard et les normands, le sang de Louis III se met à bouillir lorsqu’il aperçoit la fille d'un certain Germond à qui il veut compter fleurette.
Le Roi est à cheval. La jeune fille refuse de céder à ses avances et part en courant pour se réfugier à l’intérieur de la maison de son père. Echaudé, Louis III se lance à sa poursuite à cheval. Il est encore en selle lorsqu’il rattrape la jeune fille qui s’engage sous une porte…
Destin tragique aussi pour le frère du roiLa suite de la scène évoque un dessin animé : le roi s’encastre contre le linteau d'une porte trop basse, se fracasse le crâne, puis tombe de cheval en s’esquintant les reins. Il meurt quelques heures plus tard. La légende veut que la famille Germond ait adopté le cheval régicide et se soit mis à le choyer car il avait permis de sauver l’honneur de la jeune-fille. Sitôt enterré, Carloman, le frère du roi, le remplace.
Lui aussi, connaitra une fin inattendue et tragique, à peu près au même âge que Louis III, environ 19 ans. Carloman est en train de traquer un sanglier à la chasse lorsque la bête se retourne. Son cheval fait un écart et le jeune monarque reçoit un coup de pique dans la jambe. La blessure s’infecte et elle le tuera aussi très vite.