Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Johnny Depp accusé d’avoir frappé un homme lors d'un tournage
Alors que la réputation de Johnny Depp avait été entachée par les rumeurs de violences conjugales envers son ex-conjointe l’actrice Amber Heard, la star est de nouveau au coeur d’un scandale. D’après le site américain The Blast, la star de Pirates des Caraïbes aurait eu une vive altercation avec un certain Gregg Brooks, régisseur plateau sur le tournage du film City of Lies, sorti en décembre 2018. Le régisseur a affirmé avoir été frappé le 13 avril 2017 alors que la production tournait dans les rues de Los Angeles. Le technicien a également ajouté que la star semblait être sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants.
Une version que le musicien a rapidement démentie. Dans une déposition obtenue par le site The Blast, Johnny Depp explique que le régisseur avait manqué de respect à une femme sans domicile fixe : “J'ai vu Mr. Brooks se comporter assez violemment envers une personne âgée qui, je suppose, devait se trouver sur son chemin. Je ne sais pas. Il lui a manqué de respect et a utilisé des mots violents envers elle, comme si elle lui avait fait quelque chose”, a expliqué la star aux avocats de son accusateur avant d’ajouter : “Il y avait beaucoup de poison dans les mots qu'il a employés […] et ma réaction a été de vouloir mettre un terme à cette confrontation. J'ai voulu lui rappeler qu'il se trouvait sur un plateau de tournage et qu'il n'avait aucun droit de s'adresser à cette femme de cette manière. Pensait-il qu'il était plus important qu'elle ?”.
Après cela, la star a affirmé un peu plus loin dans sa déposition qu’ils avaient finalement résolu cette mésentente autour d’un verre : “J'ai demandé à mon assistant de nous apporter une bouteille de vin et on a bu un coup dans des verres en carton. Plus de peur que de mal. Je me suis excusé. Il s'est excusé. On s'est serré dans les bras… Tout est bien qui finit bien”, a-t-il conclu.
Johnny Depp accusé de violences conjugales
Après 14 ans de vie commune avec la chanteuse française Vanessa Paradis, Johnny Depp retrouve l’amour dans les bras d’une actrice américaine prénommée Amber Heard avec qui il a partagé l’affiche du film Rhum Express en 2011. Les deux amoureux se passent la bague au doigt le 3 février 2015 avant d’annoncer subitement leur séparation le 25 mai 2016.
L’actrice, de 22 ans sa cadette, l’accuse publiquement de violences conjugales. Présentée devant le juge, elle demande le divorce, une ordonnance d’éloignement contre la star ainsi qu’une pension alimentaire. À la suite de cela, le site américain TMZ a publié des clichés du visage tuméfié de l’actrice. Des photos qui ont créé la stupeur à Hollywood. Le couple divorce officiellement le 17 août 2016 et Johnny Depp doit alors lui verser près de 7 millions de dollars soit 6,7 millions d’euros.
Mais alors que depuis trois ans, l’actrice ne cesse d’affirmer avoir été battue par l’acteur, Johnny Depp a décidé de contre-attaquer. Ce dernier, qui nie depuis toujours, l’accuse à son tour de violences conjugales en juillet 2019. D’après le site People, Johnny Depp a affirmé que son ex-épouse lui aurait mis une cigarette sur la joue droite après lui avoir jeté une bouteille qui lui aurait tranché le doigt lors d’un séjour en Australie en 2015. Après ces révélations, le site The Blast a publié un cliché de l’acteur sur un lit d'hôpital en Australie où une blessure à la joue droite est visible.
Face à ces accusations, l’actrice n’a pas manqué de réagir via ses avocats : “Cette allégation est absurde, offensante et catégoriquement fausse. Cette photo ne prouve rien, mis à part le fait que Johnny Depp cherche désespérément à lancer toute allégation étrange afin de détourner l'attention de ses violences physiques et psychologiques sur Amber Heard”.
Johnny Depp a réclamé près de 50 millions de dollars de dommages et intérêts à son ex-femme pour diffamation après son interview réalisée dans le Washington Post. Cette dernière le qualifiait de “personne publique qui représente la violence”. Alors qu'il vient de perdre son procès contre le tabloïd The Sun, le comédien et son ex-épouse devraient se revoir en avril prochain devant un tribunal de Virgnie.
Johnny Depp accusé d’être raciste
Alors que l’acteur est accusé de violences conjugales par son ex-épouse Amber Heard, Johnny Depp doit faire face à une nouvelle polémique qui vient entacher un peu plus son image de star. En effet, sa publicité pour le parfum Sauvage de Dior a été jugée raciste par les internautes en août 2019. Dans ce spot publicitaire, l’acteur joue de la guitare dans un désert tandis qu’un amérindien en tenue traditionnelle danse derrière lui.
La star est finalement montée au créneau pour s’expliquer sur cette polémique : “Je trouve dommage que nous nous soyons fait attaquer sur un simple teaser alors que les gens n’avaient pas vu la pub en entier. Nous avons travaillé dans le respect de la civilisation amérindienne et sommes en pourparlers avec les plaignants”, a-t-il expliqué à Hollywood Reporter avant d’ajouter : “Une bande-annonce est évidemment une version très concentrée des images finales et les objections concernaient justement la bande-annonce du court-métrage. Le film n’a jamais été montré. Et il a été fait avec un grand respect des peuples indigènes, pas seulement nord-américains, mais du monde entier. C’est dommage que les gens soient montés au créneau avec ces critiques. Néanmoins, leurs objections sont ce qu’elles sont”.
À la suite de cette polémique, la marque de luxe a décidé de ne plus diffuser son spot publicitaire.
Johnny Depp aurait été abandonné par sa mère
Paul Barresi, un régisseur en charge de faire des repérages pour la série Discovery+ Johnny Depp v. Amber Heard, aurait fait des découvertes inattendues sur le passé du comédien, relayent nos confrères de Madame Figaro.
"Il (Johnny Depp) a expliqué que dès l'âge de 11 ans, il avait pris toutes sortes de substances, parmi lesquelles la marijuana, la cocaïne, l'ecstasy, le LSD, les antalgiques, les opiacés et les champignons hallucinogènes", a raconté Paul Barresi dans les colonnes de Page Six et d'ajouter : "Sa consommation de drogues avait pour but, selon lui, d'échapper à ses problèmes familiaux. Il luttait pour trouver des endroits où il puisse se produire avec son groupe de rock et travaillait à mi-temps comme télévendeur (...) Il va sans dire qu'à 17 ans, Johnny avait à peine de quoi subsister. Il était bien loin d'être émancipé. Il n'y a aucune preuve juridique qu'il l'ait un jour été de manière légale".
Le comédien aurait également été frappé par ses proches comme il l'avait raconté quelques années plus tôt dans les pages de Rolling Stone : "Oui, il y a eu des moments où nous avons été frappés sans raison. Parfois, on nous jetait un cendrier. Parfois, on nous tapait avec le téléphone".